Deux récits : Si je peux rendre service - Bon Anniversaire ! - Histoires de Sexe

Deux récits : Si je peux rendre service - Bon Anniversaire !

... boire un thé à ce moment de la journée. Tu en veux un ?
— Oui, volontiers.
— Je tiens à t’en faire goûter un. C’est gingembre et fruits de la passion. Tu vas m’en donner des nouvelles. À moins que tu en préfères un autre ?
— Non, c’est parfait. Je vous remercie.
— Tu sais tu peux me tutoyer. Je fais si vieille que ça ?
— Non, pas du tout. Au contraire !
— Ça va alors, dit-elle l’air amusé.

Avant d’aller dans la cuisine, elle me demanda :

— Tu as quel âge déjà ?
— Vingt-quatre ans.
— Ah, le bel âge !

De retour au salon, elle me proposa :

— On va boire tranquillement notre thé. Après on ira dans ma chambre, c’est là que se trouve mon ordinateur.

Je subis un véritable interrogatoire. Elle voulait mieux me connaître. Quand on aborda la question de mon style de fille, elle me demanda :

— Est-ce que je suis à ton goût ?

J’ai dû rougir. Elle se rapprocha de moi, me prit la main. Celle-ci frôla ses cuisses. Là je devais être rouge comme une tomate.

— Je te fais de l’effet ?

Je dus passer en quelques secondes au rouge pivoine.J’ose, j’ose pas ? Je posai ma main libre sur ses cuisses.

— C’est bien, on passe enfin aux choses sérieuses., dit-elle.

Je la caressais.Que cet instant dure éternellement. Elle m’offrit ensuite ses lèvres. Puis elle me demanda :

— Où veux-tu qu’on le fasse ?
— Dans toutes les pièces.
— Je ne sais pas si on aura assez d’un après-midi, répondit-elle, amusée.
— On peut toujours commencer par le salon. Après on verra ...

... bien.
— C’est une idée qui me plaît.

Je passai la main sous son débardeur. Deux seins fermes s’offraient à moi. Je les caressai, les malaxai, les embrassai. Ses tétons étaient tout durs. Je m’amusai à les mordiller.

Elle décida de passer à la vitesse supérieure. Elle enleva complètement son débardeur et fit de même avec son short. Je la laissai faire afin de profiter amplement du spectacle. Et je voulais qu’elle me déshabille, ce qu’elle fit avec dextérité. Elle déposa des baisers sur tout mon corps. Elle commença par le haut et descendit jusqu’à ma queue. Elle joua avec mes bourses, et elle avala ma queue.

J’avais attendu ce moment depuis si longtemps !

— Ça te plaît ? me demanda-t-elle.
— Oui.

J’agrippai ses cheveux pour donner le rythme. Elle faisait ça divinement bien. On s’installa ensuite sur le canapé. Sa chatte était rasée. J’y plongeai ma tête. J’y mis toute mon ardeur. Elle aimait ça. Elle poussait de petits gémissements. Elle décida ensuite de passer encore à la vitesse supérieure.

— Je vais chercher ce qu’il faut.
— J’ai tout prévu.

Je sortis un préservatif de la poche de mon jean.

— Tu savais ce qui allait se passer ?
— Non, mais j’espérais que les évènements prendraient cette tournure. Et on n’est jamais assez prudent.
— Tu as bien raison.

Elle se releva. On s’embrassa.

— Prends-moi en levrette.

Elle se retourna. La vue était magnifique. J’enfilai le préservatif et je ne la fis pas attendre plus longtemps. Ma queue était aux ...