1. Les chemins de l'amour (2)


    Datte: 25/08/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: alpha_s3, Source: Xstory

    ... la bouche, de lui défoncer la gorge et de lui faire une gorge profonde. Il descendit son autre main et attrapa ma queue-de-cheval avec. L’autre se positionna sur le haut de mon crâne. Et là, j’ai ressenti la puissance de mon fils. Il m’a presque démonté la mâchoire avec son premier coup de boutoir. Mais je me laissais faire. Il avait de l’expérience et j’étais prête à être blessée si ça me procurait du plaisir et lui aussi. Il imprégna une cadence crescendo qui se fit infernale vers la fin et m’indiqua :
    
    — Ma petite maman ! Ahhh ... ! Ma pute ! Ouvre bien la mâchoire, éloigne tes dents, tu ne veux pas blesser ton bâton d’amour qui te défonce la bouche. Serre juste les lèvres. Si tu as envie de vomir, fais-le, mais je ne retirerai de ta gorge que quand je me serai déversé en entier dans ton œsophage ...
    
    Je pleurais. J’avais mal. J’étais en sueur. J’étouffais. Avoir envie de vomir était un euphémisme. Mais des ondes de plaisir me traversaient. J’ai joui quand il a atteint son rythme infernal et commença de nouveau à convulser. Ça a dû l’exciter encore plus, car à ce moment précis, il commença à se répandre au fond de ma gorge. Ou plutôt vraiment dans mon œsophage.
    
    Mon orgasme foudroyant me réclama de pouvoir respirer et mon fils avec son orgasme m’étouffait. Et ceci décupla mon orgasme. Tout ce dont je me rappelle, c’était cette intensification immense de mon orgasme, les dernières gouttes de sperme dans ma gorge et mes convulsions saccadées. L’instant d’après, ...
    ... j’étais sur le lit. Jan me raconta que je me suis mise à convulser encore plus fort, à gémir très fort et je m’écroulai sur le sol. JE convulsai ainsi pendant plus d’une minute et je disais des grossièretés qu’il ne voulait pas répéter, tellement elles étaient cochonnes et indignes d’une mère certes incestueuse et chienne, mais si douce et romantique. J’étais dans les vapes quelques minutes, mais a priori, je respirais aussi normalement qu’une femme ayant eu un si gros orgasme (c’est-à-dire je respirais vraiment fort et rapidement).
    
    Il ne s’est pas inquiété plus que ça, puisque Monsieur a déjà provoqué quelques orgasmes comme celui-ci à ses conquêtes, mais jamais aussi rapidement, sans trop d’effort et juste avec une fellation.
    
    Je ne sais pas si je devais être fière ou contente, mais ça allait promettre de baises intenses.
    
    Ma voix était enrouée. J’avais du mal à parler, mais j’ai voulu le rassurer et partager mon diagnostic de tout à l’heure.
    
    — Mon fils ! Je t’adore et j’adore tout ce qui vient de toi. Si tu peux me faire faire ça, alors tu as ma bénédiction de me saillir, de profiter de mon corps sans aucune limite, sans aucune contrainte. Ne te retiens pas. J’accepterai tout ! Et je veux que tu saches que je suis à présent à toi. Tu seras mon seul homme, mais je ne dois pas être ta seule chatte. Profite d’autant de chattes que tu peux, et tu trouveras toujours la chatte de ta mère ouverte pour t’accueillir, comme tous mes autres trous. Ça ne changera jamais. Mais ...
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