VOYAGE DE FIN D'ETUDES 3
Datte: 25/08/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... piaule. Ils ont bien piccolé, et on a été débordées. »
« c’est sur, trois d’un coup ; »
« Non, un moment ils étaient sept, et ils ne voulaient pas quitter la chambre avant d’avoir baisé. Il y en avait un qui me plaisait bien au début, mais les autres. Enfin il a bien fallu que j’en suce un ou deux sinon on n’en sortait pas. Clara, elle, nous a dit de ne pas nous inquiéter, et qu’elle en faisait son affaire »
« il faut être prudentes, les filles »
« je sais on a joué avec le feu. Enfin, ç’aurait pu être pire. »
Pendant qu’elle me parlait, je scrutais les têtes, dans le bus.
« Karine n’est pas là ? »
« Non, je crois qu’elle était malade. Restée à l’hotel » répondit Valérie..
Le soir, je rejoignis ma chambre assez tôt. J’avais fait mes valises, en vue du départ, le lendemain.
Il était une heure du matin quand Karine rejoignit la chambre. Elle était resplendissante dans une robe de dentelle qui laissait voir sa peau au travers de motifs, ne masquant aux yeux que quelques points névralgiques de sa personne.
« Déjà là ? s’enquit elle. Pas de petites à baiser aujourd’hui ? »
« eh non, tu vois, je t’attendais. »
« Tu m’attendais ? et tu espérais que j’allais tomber toute rotie, dans ton bec ?J’ai vraiment d’autres centres d’intérêts que toi dans la vie. »
« Comme les bateaux, par exemple ? les yachts en particulier. »
« Hum, tu m’as vue. Oui, bien sur, et tu penses que ça changera quoi ? tu veux le raconter ?
Vas y, qui te croiras ? ...
... »
« Le raconter, non, pas d’intérêt, mais comprendre, oui. »
« je n’aime pas me raconter. »
« ça ne s’ébruitera pas. »
« bah, après tout… sans dévoiler grand chose, tes copines de promo, et tes copains aussi, tous. Vous êtes en train de découvrir, votre autonomie sexuelle. Vous êtes débridés, sans limites. Huit jours sans carcan et vous vous croyez libres, mais dès que vous rentrerez en France, le poids des contraintes sociales chassera cette belle énergie. Moi j’ai compris tout ça avant les autres. Le carcan social, le politiquement correct, je ne m’en suis pas affranchie. Je vis avec, et je l’utilise à mon profit pour ne pas avoir à en souffrir, comme tout le monde. »
En disant ça, elle passait les mains dans son dos, descendant la fermeture éclair de sa robe.
« Alors, tu vois, les conventions, je les contourne. Les obligations, je les détourne en en faisant un plaisir personnel. Cela me permet de connaître du monde, du beau monde même, mais je reste indépendante. Je pourrais dormir sur ses yachts splendides que tu as vu. Je pourrais me prélasser dans un des palaces de l’ile, mais je préfère en profiter un peu, laisser certains hommes m’approcher, sans jamais leur donner ce qu’ils attendent. C’est comme ça que ça peut durer. »
Elle tendit ses bras en avant, et sa robe glissa sur son corps pour ne faire qu’un petit tas, par terre, à ses pieds. Vétue seulement de ses escarpins vernis elle était magnifique
« et là, je me débarrasse des conventions, pour ...