Une soirée qui devait être calme - Histoires de Sexe

Une soirée qui devait être calme

... pas du tout ce Jean-Louis, le type même du macho, divorcé lui aussi, grand fan de Johnny, de whiskies et peu respectueux dans ses manières. Ma mère me disait que c’était qu’une impression mais qu’il était gentil. De toute façon je ne fais aucune remarque pour ne pas gâcher leur plaisir. Après tout ça ne me regarde pas. 

Une fois ma mère Annie et Karine parties, je décide de me faire une soirée tranquille, mangeant sur le balcon en profitant de cette soirée de début juin.   

Seul, je me repasse en mémoire des petites anecdotes de ces dernières semaines qui montre  le changement d’attitude de ma mère.

Nous avons toujours eu une relation de confiance et de transparence, mais depuis son amitié avec Karine, elle évoluait. 

Par exemple nous ne fermions jamais la salle de bains, prenions nos douches ensembles sans arrière-pensées, sauf que dernièrement elle me complimentait régulièrement sur mon corps, musclé pour mon âge, me félicitant aussi sur la taille de mon sexe, ce qui avait comme conséquence de le gonfler à demi, surtout quand je lui savonnais le dos.  Mais nous riions de ça et rien de plus.  

Ce sont les séances d’habillages qui me troublaient le plus car devenues fréquentes: tous les vendredis et samedis ma mère essayaient ses tenues devant moi, lingerie,  robes, chaussures, parfois avec Karine car elles souhaitaient la validation d’un homme. 

Franchement c’était génial!  Les voir se changer devant moi, en string, dégrafant leurs soutifs
 car elles ...

... s’étaient habitués à ma présence , essayant des tenues plus sexy les unes que les autres, ça me faisait un effet de dingue! Quand mon short en jeans se déformait Karine le désignait du doigt en rigolant et me mettait la main au paquet tout en m’embrassant sur la joue.

Le plus hot, c’était lorsque je devais m’approcher, quand elles essayaient un string, pour que je m’assure que leur rasage était parfait . Quand ces strings étaient en dentelle je pouvais tout distinguer.  Je donnais alors un baiser sur la fesse en guise de validation.

J’en suis à me remémorer ces instants lorsque je vois la voiture de Karine revenir, suivie de celle de  ce Jean-Louis. Ma mère et Karine pressent le pas de façon inhabituelle vers la porte de notre immeuble, suivies là encore de Jean-Louis qui à l’air furax. 

Quelques secondes plus tard, sur notre palier je distingue des éclats de voix et comme des supplications. Je devine alors qu’un truc pas normal  se passe, j’enfile me baskets et sors sur le palier.

Le Jean-Louis, visiblement ivre, vient de gifler Karine en la traitant de salope et il maintient ma mère par le cou le long du mur.  Mon sang ne fait qu’un tour, et je luis décroche une belle droite et une grand coup de genou dans les côtes. 
-Casses toi! Et reviens pas sinon j’appelle le flics! 
 Surpris et le souffle coupé, il redescend l’escalier en se tenant la mâchoire et les côtes…
- je ne reviendrai pas, j’ai pas de temps à perdre avec deux allumeuses qui veulent juste me faire ...