Les frasques sexuelles de l'américaine - Histoires de Sexe

Les frasques sexuelles de l'américaine

Françoise n'a aucune retenue quand elle passe une semaine à Paris. Au risque de choquer, elle aime exhiber ses charmes et faire en public ce dont elle a envie. De ce fait vers 21H, elle va à la réception, fait appel à Wilfrid, exige qu'il baisse son pantalon pour qu'elle puisse sucer une queue bien raide. Françoise ne tient aucun compte des possibles clients qui pourraient la voir en train de faire une pipe à cet employé. Et comme Wilfrid est un bon partenaire, il lui baise la gueule avec des coups de queue qui labourent le gosier de Françoise. Et comme cette dernière raffole de la fellation à gorge profonde, ces deux compères offrent aux quelques clients présents un spectacle auquel ils ont rarement l'occasion d'assister. Si en plus Patricia s'invite aux réjouissances, on peut entendre Françoise encourager Patricia à fister sa chatte béante. Quand Rodolphe, le directeur voit ce spectacle il se met en colère : "Mon hôtel n'est pas un lupanar et je ne reçois pas de traînée comme vous, Madame Françoise !" "Monsieur le directeur, je ne suis pas une traînée, je suis une femme qui aime le sexe et si vous, vous étiez un homme et non pas un impuissant, ça fait longtemps que ...

... vous sauriez que ma chatte et mon œillet sont à la disposition de bons queutards!" Rodolphe ne sait quoi répondre et donne rendez-vous à Françoise le lendemain dans son bureau pour dissiper ce malentendu. 
Fidèle au rendez-vous, Françoise attend l'arrivée de Rodolphe qui ne tarde pas. "Madame Françoise, hier soir vous m'avez traité d'impuissant mais sachez que j'ai l'habitude de choisir mes partenaires et non pas de coucher avec une femme qui veut s'imposer à moi. Je vous propose de me prouver que vous êtes une femme qui mérite ma collaboration. Si vos arguments sont assez convaincants, à moi de vous montrer que je suis la personne idéale et dans ce cas je vous baiserai la chatte avant de vous "encouiler" comme vous dites et croyez-moi c'est vous la première à déposer les armes. Je vous donne jusqu'à la fin de votre séjour chez nous pour affûter vos appas!"
Madame Françoise est bien décidée à relever ce défi et elle est convaincue d'être capable à se faire sauter avant la fin de la semaine d'autant plus que monsieur le directeur lui a promis de lui faire voir des étoiles et de l'emmener au septième ciel. 
A voir comment Rodolphe et Françoise vont régler le dilemme !