Une semaine dans la communauté arabe - Histoires de Sexe

Une semaine dans la communauté arabe

Je suis Didi et je prépare une thèse sur la communauté arabe en France. Mon enquête m'a révélé que la religion et le sexe sont intimement liés. Au niveau sexe, ils ne pratiquent qu'entre eux, les étrangers à leur communauté sont rarement admis et j'ai eu la chance de l'avoir été. J'ai été étonné par leur assiduité pour les rapports sexuels. Bien sûr le kess ommek ( honneur de la femme) est respecté car une femme doit arriver vierge au mariage mais toute autre forme d'activités comme la fellation ou la sodomie est tolérée et beaucoup de femmes ne s'en privaient pas. Ainsi Yasmina, une experte en  fellation, aimait me sucer la queue (le zebi en arabe) car elle a une odeur propre à la race blanche selon elle. Et quand Yasmina avait donné une belle vigueur, Douala venait s'asseoir sur ma queue en veillant à ce que je la baise par la petite porte de derrière. Bien calé dans les entrailles de Douala avec Yasmina qui caressait et léchait mes couilles, j'étais un homme comblé. Et j'avais droit à ce traitement très souvent car Douala et Yasmina sont de vraies chaudasses. Évidemment accro toutes deux à la bite, elles intervertissaient les rôles : quand Douala suçait ma bite, c'est Yasmina qui venait s'empaler sur ma queue. Seules les sharmouns (prostituées) se ...

... permettaient de se faire baiser la chatte contre une rémunération assez salée. Après j'ai fait la connaissance de Rayan, le frère de Douala qui lui est à la fois un zamel (homo efféminé) et une sharmoun ( prostituée salope). Ses tarifs étaient exorbitants mais malgré cela, il avait une clientèle assez nombreuse les rebeus étant très friands de travestis jeunes et soumis. Il faut dire que, sous sa djellaba, Rayan pouvait plaire à beaucoup de queutards avec son caraco sous lequel pointent des tétines appétissantes  ,sa jupette ultra-courte sous laquelle il porte une guêpière corsete à laquelle sont attachés des bas nylon couleur chair. Mais pour moi et par respect pour sa sœur j'ai pu profiter de sa largesse et pour la première fois j'ai pompe le noeud d'un garçon et je me suis fait sodomiser par une belle queue longiligne qui s'est enfoncé si profond qu'elle m'a fait jouir en agaçant ma prostate. Je dois avouer que j'ai beaucoup apprécié cette expérience et Rayan me fait profiter de son réseau et nous allons ensemble faire la qhaba (prostituée). Rayan et moi sommes actuellement à la recherche de deux femmes qui sont amatrices de plaisirs saphiques et quand nous les aurons trouvées, nous formerons un quatuor capable de répondre aux demandes de n'importe quelle clientèle !