1. Faggot whore travestie soumise


    Datte: 30/11/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: Didier, Source: Histoires-de-Sexe.club


    L'expérience que Didisalope a vécue à Londres en tant que faggot whore lui a tellement laissé de bons souvenirs que, revenu en France, il s'est mis à la recherche d'un club similaire et comme par hasard une telle communauté est active près de chez lui. Prenant son courage à deux mains, Didisalope est allé un samedi soir assister à une de leurs réunions. La salle était pleine de mecs vêtus de cuir avec des visages de durs à cuire. Quand ils m'ont vu, ils m'ont regardé de travers et l'un d'eux m'a demandé ce que je venais faire ici. "Que cherches-tu ici? Nous sommes entre mecs, les seuls étrangers que nous acceptons, ce sont des larbins que nous traitons en faggot whore. Alors où bien tu disparais ou bien on va te baiser le cul jusqu'à ce que tu demandes pitié !" Un autre comparse avait relevé ma jupette et ameute d'autres curieux : " Hé hé les copains, c'est une femelle à quequette, idéal pour l'utiliser en faggot.  Reuns autour de mes fesses, j'ai récu une sacrée raclée, des mains s'abattent sur mon popotin pendant qu'un autre m'a pris par le col, a fourré sa grosse queue dans ma gueule de faggot soumis, sa bite me ramonait le gosier, un troisième a pris mes fesses pour élargir ma raie culiere et ...
    ... sonder l'élasticité de mon conduit anal avec ses doigts. "Les gars, cette femelle est à point pour être fécondée !" Joignant le geste à la parole, il a commencé à me prendre par la porte de derrière puis ce fut l'hallali l'un m'encule pendant qu'un deuxième se branle dans ma bouche et qu'un troisième, après m'avoir enlevé mon soutif prend les globes de mes nichons, place sa queue entre mes globes mammaires pour m'imposer une cravate de notaire. Je ne sais combien de queues j'ai dû sucer ni le nombre de gros braquemards m'ont encule. A peine l'un avait déchargé son trop-plein de foutre  qu'un autre prenait sa place dans l'orifice laissé vacant par le précédent et pour finir les gros durs à cuire m'ont allongé sur le sol et se sont branle pour se vider les couilles sur mon corps. Avant de me libérer, leur chef m'a dit que je devais venir chez eux régulièrement car je suis une bonne faggot dont ils auront besoin pour s'amuser à mes dépens. Je suis revenu au moins une fois par mois pour satisfaire mes désirs de soumission, le temps de calmer mes trous avec un baume relaxant. J'avais goûté aux plaisirs de me soumettre aux volontés de ces malabars et je ne pouvais plus m'en passer. Vive la vie de faggot !. 
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