Allumeur - Histoires de Sexe

Allumeur

Si il y a des plaisirs multiple,  il y a celui de l'allumage. J'adore provoquer, allumer, exciter les mecs. En été je mets un short assez large et j'évite de mettre un slip. Très vite, je me fais repéré, je le vois aux regards. Je feins de faire autre chose comme tapoter sur mon portable et en repliant une de mes cuisses je fais remonter la jambe du short dévoilant le bout de mon sexe non circoncis. Je vois les yeux qui se jettent aussitôt sur mon entrejambe et ça me procure une excitation particulière. Je sens l'air frais passer sur mon sexe et je sais qu'on peut en voir un bout. Il n'est pas énorme mais j'attise les vicelards, qui après plusieurs passage quand je suis dans un parc, finissent par s'asseoir à côté de moi. Je fais semblant de les ignorer et continue mon pianotage. Les yeux sont déjà une caresse mais j'attends la main qui viendra nonchalamment toucher ma cuisse nue. Je me retiens de ne pas bander tout de suite pour feindre mon désintéressement mais j'espère le contraire. J'écarte de temps en temps ma cuisse pour ne pas décourager mon visiteur et l'encourage à aller plus loin. Quand ses doigts bougent, c'est là que je ferre mon bonhomme. Je sais qu'il s'excite et je ne veux pas le décevoir, ni le voir abandonner. J'attends patiemment   que le monde autour se raréfie et je pose ma main sur ...

... celle du convoiteur. Je suis imberbe et souvent ces visiteurs sont déjà murs, j'aime bien. Après ma démarche furtive, je vois la bosse du quinqua qui prend du volume et je ne peux plus retenir mon érection. Quand je bande la moitié de mon gland se découvre. Je lance un "Tu as envie" qui rassure le mec et qui fait glisser sa main dans par la jambe du short. C'est le moment que je préfère. La main est douce, avance lentement avant de saisir ma petite queue. À l'avance, j'avais repéré un endroit tranquille, au cas ou et j'invite mon dragueur à me suivre. Arrivés sur les lieux, souvent, le mec se précipite pour faire sortir mon appendice du short et se jette à genoux pour le prendre en bouche. C'est un moment merveilleux que des lèvres chaudes pleines de salive viennent épouser toute la forme de ma tige. Souvent, quand ils commencent à sucer, ils ouvrent leur zip et sortent leur queue pour se branler en même temps. À mon âge, il faut que je me retienne car je jouis assez vite, mais souvent ça me paraît impossible et mes jets giclent dans la bouche de mon pompeur qui avale comme un mort de faim. Une fois vidé, il se redresse la queue bien dressée et bien décalottée et me demande de les vider. Souvent, ils giclent assez vite trop excités par la pipe qu'ils viennent de me faire. J'avale tout car j'aime le sperme.