Patricia et Francisca - Histoires de Sexe

Patricia et Francisca

Nos mères respectives ont toujours désire avoir une fille, quelle déception pour elles qu'elles aient accouché d'un garçon mais en se concertant, elles ont décidé de faire contre mauvaise fortune bon cœur et de nous élever comme des filles ainsi mon futur meilleur ami et compagnon de débauche à été prénommé Patricia et moi Francisca par Geneviève et Clotilde, nos mamans respectives. Nous portons  des habits  et des sous-vêtements de fille sauf à l'école où nous devions aller en garçons pour éviter les ragots. Chez nous, nous devions jouer à la poupée ou à la dînette, ni Patricia ni Francisca n'étaient malheureuses mais elles savaient au fond d'elles que quelque chose clochait. Avec l'âge, nos conditions de vie et nos tenues evoluaient. Geneviève voulait nous traiter en filles et ma mère suivait son exemple. Une fille fait pipi assise, elle a chaque mois des règles donc elle doit mettre des protections, des couches d'abord puis plus tard des tampax bien enfoncés dans nos anus. Francisca comme Patricia adoraient cette semaine pendant laquelle leur fion respectif est investi de ces tampons. Puis Geneviève et la maman de Patricia nous ont emmenées dans une boutique de lingerie fine. La vendeuse, Sylvia  a été mise au courant des besoins des "filles-garçons" et elle cooperait. Patricia comme Francisca portent une jupe longue dont elles se débarrassent de suite, ...

... enlèvent les brassières, descendent leurs affreuses culottes de grand-mère. Nous devons essayer d'abord des caracos transparents et des jupes ultra-courtes avant de choisir des dessous sexy des marques Victoria Street et Intissimi. Francisca a droit à un soutien-gorge pigeonnant à travers lequel on voit ses larges aréoles brunes et Patricia à une brassière, ses seins devant encore être développés au moyen d'une pompe dont la manipulation echoit à Clotilde, la spécialiste. Une guêpière rouge et une autre noire pour Francisca, un serre-taille corsete jaune et un autre bleu pour Patricia  et de jolies slips, strings et tangas pour chacune. La vendeuse Sylvia a remarqué que ces essais n'ont pas laissé indifférentes les deux belles travesties et dit aux deux mamans qu'il ne faut pas les lâcher dans la nature dans cet état et qu'il faut calmer leurs ardeurs et joignant le geste à la parole, elle se met à genoux, decalotte les verges et les prend en bouche, une dans son gosier et l'autre dans sa main, Sylvia becote le prépuce de Patricia et branle la queue de Francisca puis le contraire. Geneviève est excitee et se met à côté de Sylvia pour en faire de même et voici que Clotilde s'y met aussi si bien que Sylvia est laissée pour compte et que les deux mamans font une gâterie à leurs filles-garçons. 
Depuis ce jour, Geneviève et Clotilde obligent leur progéniture à tapiner.