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    Datte: 11/03/2018, Catégories: fh, fsoumise, hdomine, Oral jeu, sm, attache, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, fouetfesse, piquepince, couple, fsoumisah, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... mariner. C’est tout lui, ça. Il retire les coussins de la table basse, dans mon dos. Je l’observe sans rien dire. Il sort du salon pour revenir avec une corde. Il fait un nœud coulant et me demande mon poignet gauche. Je suppose qu’il veut passer le nœud coulant dessus mais non : il fait un autre nœud, laissant le nœud coulant libre. Bientôt, mon poignet gauche est attaché. Le nœud coulant, libre, pend misérablement. Je comprends qu’il veut y passer mon second poignet que je lui offre mais il le refuse. Je hausse les sourcils mais ne dis rien. Il décide, après tout.
    
    — Allonge-toi sur la table, sur le dos, ordonne-t-il.
    
    Je m’exécute. La table est froide, mais c’est supportable.
    
    — Plie tes bras en dessous de la table.
    
    La table est à peine plus large que mes épaules. Mes coudes arrivent au bord, me permettant de placer mes avant-bras sous la table. Une fois que je suis en position, il passe le nœud coulant autour du poignet droit et le serre, vérifiant avant de se relever qu’il n’est pas trop serré. Ainsi attachée, je ne peux pas me redresser. Mes jambes sont libres. En revanche, le haut de mon corps est maintenu fermement. Il me passe un bandeau sur les yeux et me voilà aveugle.
    
    — Ma volonté est de jouer avec ta poitrine, annonce-t-il. Plus exactement, je veux te faire mal. Dans cette position, difficile pour toi d’y échapper.
    
    Son rire sadique fait frémir mon côté maso. Je tente de bouger tandis qu’il se déplace dans la pièce. Rien à faire. Je ne peux pas ...
    ... bouger. Mes seins lui sont offerts et je ne peux rien faire pour lui échapper.
    
    Je n’ai pas vu venir le premier coup et je me tords de douleur en criant. Il y est allé doucement. J’ai davantage crié de surprise que de douleur. Je reconnais le cinglement de la badine. Je crains énormément cet outil, surtout sur mes seins, et il le sait. Il a décidé de commencer fort. Il est clair qu’il a envie de montrer que je lui appartiens, qu’il fait de moi ce qu’il veut. Le second coup est plus appuyé et je me retiens de crier. Le coup suivant tombe sur mon téton droit et je hurle.
    
    J’essaie de lui échapper mais ma position m’interdit tout mouvement en haut du corps. C’est peine perdue. Il continue à jouer ainsi. Parfois, il fait siffler la badine mais ne me touche pas, riant de me voir me crisper et gémir alors que rien ne se produit.
    
    Puis je sens ses mains sur mes seins. Elles sont douces et chaudes. Il les pétrit avec douceur, les caresse. Pourtant, je tremble à l’idée de ce qui va se produire ensuite. Il utilise de l’huile de massage. Le message est clair. Quand il prend l’huile de massage, c’est qu’il va… J’ai vu juste. La première goutte de cire qui tombe sur mon sein me fait crier. La douleur est plus grande à cause de l’huile. Je tente à nouveau de me débattre mais rien n’y fait. Je subis la chaleur intense et brève de chaque goutte de cire brûlante qui s’écrase. Quand la douleur causée par une perle liquide de bougie s’atténue, une autre arrive, sur l’autre sein ou sur un ...
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