1. Intimité (1)


    Datte: 24/08/2019, Catégories: f, fh, fplusag, extracon, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, nopéné, journal, extraconj, prudes, Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe

    J’ai rencontré mon épouse Laurence sur les bancs de la fac il y a presque vingt ans. Elle était déjà cette ravissante femme très classe à la silhouette élancée. J’avais été d’abord attiré par sa stature à la fois fière et réservée, son port de tête ravissant et son cou mince souvent paré d’un collier de perles, ainsi que par ses jambes longues et fermes vêtues souvent d’élégantes chaussures à talon. Issue d’une famille fortunée, elle était souvent habillée de façon très classique, en tailleur, et pour tout dire paraissait un peu coincée. Notre vie sexuelle était pour moi satisfaisante, dans le sens où celle qui est rapidement devenue ma femme acceptait le plus souvent de façon docile de satisfaire mes désirs, à partir du moment où je ne m’aventurais pas sur le terrain de la sodomie ou d’autres pratiques un peu déviantes.
    
    Mais je dois reconnaître que son absence d’initiatives et le sentiment désagréable, malgré ses dénégations, qu’elle faisait l’amour essentiellement pour me faire plaisir pesait un peu ces derniers temps sur la qualité de notre relation. Quand je lui parlais d’un effet de lassitude chez elle, ou d’une absence de désir, elle s’évertuait à m’affirmer le contraire. De plus, elle prétendait que son gynécologue lui avait dit que le fait qu’elle ne mouillait pas durant nos rapports n’était pas lié à un manque de désir, mais chez elle à une constitution particulière et qu’il n’y avait rien à faire.
    
    Il est vrai que depuis le début nous devions souvent utiliser ...
    ... des gels pour ne pas trop l’irriter. Cela ne l’empêchait pas d’exprimer, lorsque nous faisions l’amour, par ses soupirs et les ondulations de son joli corps, le désir qu’elle avait pour moi. Pour ma part, j’ai une libido assez envahissante. Souvent, je lui demandais de me laisser caresser ses seins par dessus son corsage ou encore de les sucer. Elle me laissait le plus souvent faire. Et même parfois lorsque nous étions dehors, après s’être assurée que l’on ne pouvait pas nous voir. Elle m’autorisait aussi à la prendre, vite fait, que ce soit à la maison sur le rebord de la table ou contre l’évier, sur le tapis en l’allongeant sur le dos et en lui relevant les jambes, ou encore debout dans le jardin, dissimulés par le linge étendu…
    
    Comme je l’ai dit, quand l’occasion se présentait et que mon désir était si fort que je ne pouvais m’empêcher de susurrer à son oreille combien j’avais envie d’elle, elle s’exécutait souvent fort consciencieusement. Il semblait même que les lieux insolites et les étreintes fugitives la satisfaisaient davantage.
    
    Alors que mes activités m’occupent beaucoup toute la semaine, car je travaille dans un cabinet d’avocats, Laurence acceptait donc volontiers avec une certaine application studieuse, lorsque j’étais de retour, d’accomplir son devoir d’épouse. Il y avait quelque chose d’un peu désuet dans la tournure de notre relation mais, sans doute par mauvaise foi ou par lâcheté, je m’en satisfaisais, appréciant sa bienveillance à ce sujet malgré ses ...
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