Choc culturel...et gynécologique ! (2)
Datte: 24/08/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... celui-ci !)
— Oh elle est habituée, elle adore ça !
Mon Dieu ! Pensait tout bas la thérapeute ! Mais c’est quoi cette mère et son fils ? Heureusement que mon mari n’a pas de tels monstres comme patients. Pour une fois, je le remercie d’avoir installé son cabinet dans les quartiers populaires, loin des zones urbaines riches et dépravées !
— Bon et alors il l’a bais... heu je veux dire, il lui a imposé un rapport sexuel ?
— Ho, pas imposé !
Ma mère le supplia de la prendre par tous les trous. Ah un moment elle s’est relevée, et elle a toisé le mec, nez contre nez, yeux dans les yeux. D’un ton doucereux elle lui a dit:
— Alors petit docteur, tu as pas l’audace de prendre une belle femme comme moi ? Serais-tu impuissant pour te servir de ta cravache comme d’un pénis ?
Et elle lui posa la main sur la braguette. Le type a semblé recevoir une décharge électrique et il a sauté en arrière ! Alors il lui a dit : " mais tu es le diable !" En minaudant, ma mère lui a soufflé " si tu le dis !" Alors il a éclaté de rage, il a giflé ma mère, celle-ci le défiait toujours du regard et il l’a prise par la nuque, et l’a obligé à se mettre à genoux. Ma mère, sans qu’il ait le temps de lui dire quoi que ce soit, avait déjà déboutonné sa braguette, et sortit sa bite. Elle lui a fait une fellation du tonnerre ; le type a giclé en moins d’une minute il était vidé et vaincu ! Je le voyais à son air.
Alors il s’est repris, et a ordonné à ma mère de se placer dans le coin de la ...
... salle, accroupie, les cuisses bien écartées, le sexe grand ouvert et les mains sur la tête ; ma mère a obéi et elle le regardait d’un air narquois.
Alors il a cravaché ma mère sur son sexe, sa fente, son clito. Ma mère criait et gémissait à la fois. Quand il s’arrêtait pour se reposer le poignet... pas un grand sportif à mon avis, ma mère lui en réclamait encore ! Le type restait les bras ballants, il savait plus quoi faire !
Alors ma mère s’est posée au bord de la table d’examen. Elle a relevé les jambes à l’équerre, exposant son abricot tout juteux, et elle a appelé le type. Il s’est jeté sur elle et l’a baisé... très mal... il a explosé au bout de deux minutes !
Alors ma mère a relevé le buste et s’est penchée à son oreille, et lui a dit :
— Je sais ce que tu veux... tu voudrais me voir baiser avec mon fils et nous rejoindre ensuite ? Et ce serait encore mieux avec ta femme Françoise...
Alors le type s’est crispé et il a une expression d’épouvante. Il s’est retiré de ma mère, a traversé la salle d’examen en courant, la main sur la bouche, est passé près de moi sans me voir, pour aller dans les toilettes. Je l’ai suivi et là, j’ai entendu qu’il rendait "tripes et boyaux". Je n’avais jamais entendu un mec gerber comme ça !
Groggy par le récit hallucinant de son jeune patient, Françoise rentrait chez elle, heureuse de retrouver le petit cocon de normalité de son foyer, avec son amour de mari... au moins chez eux, tout était normal !
Pourtant ce soir-là, ...