Mûres 14/Faire jouir les vieilles dames, une passi - Histoires de Sexe

Mûres 14/Faire jouir les vieilles dames, une passi

Lorsque je m'apprête à gicler dans le vagin d'une vieille dame (féminine et gracieuse, cela va sans dire) qui se met à mouiller, qui perd toute retenue, les cuisses écartées, toute heureuse de sentir le plaisir l'envahir, j'éprouve une satisfaction particulière, celle d'avoir franchi un tabou, et de nous rendre un grand service en nous faisant du bien, en ayant osé mettre en rapport ces deux corps qu'une ou deux générations séparent, mais qui tirent tant de jouissance l'un de l'autre.

C'est vrai, quoi! C'est tellement bon de fourrer ces dames âgées, qui s'imaginent ne plus plaire aux hommes. Elles étaient prêtes à faire une croix sur leur sexualité, alors que leurs chattes sont souvent délicieuses à fourrer, et procurent de somptueuses sensations à ma bite.

A un âge très avancé, leurs seins peuvent rester très appétissants, même si leurs formes ne sont plus aussi fermes que dans leurs jeunes années. Et alors? Une blonde soignée de plus de 70 ans fait-elle moins bander quand on la prend en levrette sous prétexte que ses fesses sont un peu plus molles?

J'adore voire une dame austère et réservée prendre goulument mes couilles dans sa bouche, ou encore se lancer dans une tentative de sodomie.

Je viens de commettre le péché de chair avec une amie de 75 ans (j'ai à peine 50 ans). Je dis bien, une amie. Je n'ai pas cherché à lui sauter dessus, pour ne pas gâcher une relation très sereine avec d'éventuelles jalousies. D'autre part, je n'avais aucune envie de m'afficher ...

... avec elle en tant que couple.

-On pourrait passer la nuit à l'hôtel, mais si nous passons à l'acte, cela doit rester comme une parenthèse, ai-je prévenu. Ce serait juste une expérience, pour nous faire du bien...

Elle s'appelle Evelyne.

-Oui, oui, ne t'inquiète pas. C'est juste pour nous faire du bien...Je te préviens, lorsque j'ai voulu faire l'amour ces dernières années, ça n'a pas fonctionné. Je suis très, très étroite.

L'idée de pénétrer Evelyne par sympathie, pour lui faire du bien, en franchissant cette difficulté commençait à m'exciter.

Comme ce devait être bon de se retrouver soudain tout nus, en train de faire entrer la bite dans ce vagin délaissé, étriqué, désespérant de recevoir de la visite.

L'acte était programmé. Nous nous étions promenés avant de revenir à notre chambre d'hôtel, décidés à nous emboîter après une dernière coupe de glace sur une terrasse, assez fébriles, un peu gênés, passablement excités.

Dans la pénombre de la pièce, je fus le premier à me retrouver nu dans le lit.

Evelyne s'est déshabillée lentement, en rangeant ses habits très soigneusement. Cela me fit tout drôle de la voir s'avancer vers moi, toute sérieuse, un peu maigre mais tout de même attirante, ses seins étonnamment fermes et ronds pour son âge.

Après quelques baisers, quelques attouchements de sa main sur ma queue, je fourrai ma langue dans ses poils tout fins. Je ne désirais pas tellement la lécher, c'était plutôt pour préparer sa chatte, qui me semblait ...