Marie ma nouvelle voisine - 18 - samedi soir (fin)
Datte: 24/08/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Cello, Source: Hds
... au rythme de ma cavalcade.
Cello – Voir tes seins bougés dans tous les sens, m'excite encore plus et je bande encore plus fort.
« Allez ma pouliche, au galop ! »
Marie - J’accélère la cadence, mon plaisir est décuplé, car mon mari et Laurent nous mate et je sais que ça les excites. Puis pendant que je prends mon pied sur votre grosse bite je dis à Hervé :
« Oh Mummh ah mon chéri, ah je suis désolée mais c'est trop bon, oh monsieur Cello... Oui... Encore... Oh quelle grosse bite ! Encore.
Cello - Tu accélères la cadence et pour te stimuler je commence à te gifler les seins. Mes gifles sont de plus en plus forte, t'encourageant à augmenter le rythme. Épuisée par une première jouissance, tu t'écroules sur mon torse, le visage dans le creux de mon épaule, les seins écarlates Je profite de ta position pour te caresser la joue d'une main pendant que de l'autre, je caresse ton fessier, ta raie culière et glisse un doigt puis deux dans ton fondement.
Marie - Puis, vous me rouler une pelle tout en continuant à me doigter le cul, mes râles de plaisirs se font bien entendre et je fais en sorte de vous faciliter l'accès à mon cul en me trémoussant sous vos doigts.
Herve a les yeux écarquillés, car je lui ai toujours refuser de passer par la, même avec ses doigts. Mais cela ne l’empêche pas de sortir sa bite de son caleçon et de se branler en nous matant. Laurent fait de même.
Oui alors que vous me câlinez d'une main, je sens que vous caressez mon cul et que ...
... vous investissez mon petit trou d'un doigt suivi rapidement d'un second, ce qui me procure un deuxième orgasme encore plus fort que le premier
Cello – Je te laisse récupérer quelques instants en te câlinant, avant de te demander de te mettre à quatre pattes sur le canapé.
Marie – Je vous obéis, espérant juste ne pas recevoir une fessée, que je ne mérite pas. Très vite, je suis rassurée lorsque je vous sens vous placez derrière moi, que vos mains saisissent mes fesses et les écartes et que vous me crachiez sur l'anus. Je devine que vous allez me sodomiser et n'ose regarder Hervé, sachant que je lui ai toujours refusé ma pastille. La tête et la poitrine appuyées contre l'assise du canapé, vous me relevez les fesses et me demandez d'écarter celles-ci. Vous placez votre gland contre mon œillet. Je sens celui-ci me forcer. Puis d'un coup de rein, vous m'embrochez jusqu'aux couilles. J'ai l'impression d'être déchirée . Ça me brûle, puis la douleur se mélange au plaisir et rapidement je n'éprouve que ce dernier.
« Oh mon dieu, que c'est bon d'être enculée par votre grosse bite ».
Quand vous voyez que je vais de nouveau jouir, vous ralentissez vos vas et viens dans mon cul et vous commencez à le claquer en augmentant la force des coups et en alternant à chaque fois, fesse gauche, fesse droite. Lorsque vous sentez que la douleur est forte et le plaisir moins intense, vous recommencez à me pilonner l'anus et ce, plusieurs fois.
Marie - Puis vous dite à Laurent de venir me ...