Je suis une MILF soumise, même très soumise (12) - Histoires de Sexe

Je suis une MILF soumise, même très soumise (12)

Story 12

Mon Maître veut que je devienne une « vraie pute » comme il se plaît à me dire. Je suis morte de peur, anxieuse et honteuse de devoir passer par cette expérience.

Carole me prépare, me fait prendre un bain, m’administre deux lavements. Je ne m’habitue toujours pas à cela. M’exhiber devant elle sur le dos, les jambes relevées, elle m’enfonce dans le cul le double Bardel. Je me sens remplie et gonflée comme une outre. Carole m’oblige à retenir le lavement, après quelques minutes, m’autorise à me « vider » dans les toilettes. La deuxième fois, les eaux sortent propres de mon cul. Ensuite, elle me rase parfaitement le minou, me passe gentiment de la crème apaisante.

— Aujourd’hui, c’est ton début de pute, tu vas voir, c’est assez spécial. Mathilde et moi avons été obligées à faire le stage de pute bien que nous soyons deux lesbiennes. Maître veut que nous passions toutes par là. J’ai dû baiser des hommes qui vraiment ne me plaisaient pas. Bien entendu, on n’est pas payée pour nos services. Jay offre nos services à une de ses amies qui a plusieurs filles, me dit Carole.

— Vous deux aussi, il vous a obligées ? J’ai peur, je sais que Jay veut m’offrir, il me l’a dit. Je pensais que c’était à ses amis ou relations... mais à des inconnus !

— Oui, me répond-elle, notre Maître veut nous faire connaître la soumission la plus totale. Être obligée de donner son corps à des inconnus est très dur, il considère que cela est le passage obligatoire pour devenir une « ...

... vraie femme » et abandonner notre éducation bourgeoise.

Je vais enlever ta plaque, les « clients » n’ont pas besoin de connaître ton vrai statut. Par contre, je vais te plugger le cul, comme cela, tu arriveras plus ouverte, car tu vas en avoir besoin. Ils aiment tous nous enculer.

Carole me maquille en pute comme elle aime dire, m’habiller en pute, robe moulante sur des bas beiges, une gaine très serrée pour que mon plug, éventuellement, ne tombe pas par terre. Pas de parfum, car les clients veulent rester discrets en sortant de chez les « putes ».

Le chauffeur de Jay me laisse devant un immeuble cossu près de Montparnasse.

Une jeune fille blonde habillée en parfaite soubrette m’ouvre la porte, me fait passer dans un salon où je rencontre pour la première fois Madame. Elle semble être dans sa quarantaine, donc plus jeune que moi. Elle est assise dans un large et confortable fauteuil, habillée en tailleur, des bas clairs comme les miens, des escarpins. Une classe et autorité se dégagent d’elle. Je sais déjà que je vais devoir être très docile. Je reste debout, je la salue respectueusement, la soubrette reste derrière moi.

— Bonjour, Liz, enchantée de te connaître, tu es très jolie et attractive pour une femme de 50 ans. Les photos et films que Jay m’a envoyés sont magnifiques, tu es très belle et séduisante pour ton âge. Comme tu le sais, ici les filles travaillent pour de l’argent, mais cela ne sera pas ton cas. Tu seras mon cadeau à mes bons clients. Jay veut ...