1. La punition de la directrice (2)


    Datte: 23/08/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    Il me dit qu’il y a une solution possible qui pourrait arranger mes affaires .
    
    J’imagine qu’il va me proposer d’aller à l’hôtel avec lui, ou une prestation sexuelle.
    
    Je me dis que malgré l’humiliation je ne peux faire autrement. Je suis prise au piège, et me laisser baiser par cet homme plutôt attirant ne sera pas aussi grave que la prison.
    
    Il me dit - ou plus exactement m’ordonne - de le suivre. Je me lève en essayant de rester digne. Nous entrons dans sa voiture et il démarre.
    
    A ma grande surprise il se comporte en gentilhomme.
    
    Nous arrivons à un beau pavillon isolé dans la campagne.
    
    Nous entrons et il m’offre un verre pour me détendre. Il m’invite à m’asseoir dans ce fauteuil confortable.
    
    Là il commence à exposer sa proposition qui me surprend encore plus.
    
    Il me dit que lui et certaines de ses connaissances aiment regarder une femme sophistiquée faire le ménage. Il reconnaît que cela peut sembler bizarre. Il me propose donc de faire un bout d’essai et de me filmer avec un caméscope.
    
    Ravie que ses propositions ne soient pas si terribles, j’accepte.
    
    Il me dit ensuite que je devrais obéir à tous ses ordres. Pour l’essai il accepte que je porte un masque.
    
    Cela n’est sans doute que le prélude à des activités bien plus poussées...
    
    ° ° °
    
    Elle n’a pas trop semblé comprendre quand j’ai évoqué des sanctions, qu’elle ne pourrait pas s’en tirer à bon compte. Elle n’a pas réagi. Alors j’ai enchaîné sur le moyen de payer symboliquement sa dette ...
    ... à la société, de payer pour sa négligence, sa désinvolture.
    
    Je n’aime pas ces petites pimbêches quadragénaires, qui, sous prétexte d’être arrivées à un poste à responsabilités, prennent les gens de haut et ont tendance à mépriser leurs subalternes, quitte à essayer de leur mettre tout sur le dos, à les accabler, en leur faisant tout un tas de reproches tandis qu’elles-mêmes prennent les choses par-dessus la jambe.
    
    Je considère qu’on devrait être d’autant plus irréprochable qu’on encadre des salariés, qu’on se doit de montrer l’exemple. Beaucoup partagent mon point de vue, mais cette conception des choses n’a pas l’air trop de l’effleurer, cette brune pulpeuse.
    
    Et puis, je n’aime pas les feignasses. Surtout ce type de femmes mûres qui ne rechignent pas à faire bosser les autres, à se débarrasser des tâches qui les ennuient quand bien même elles leur incombent… mais ne s’avèrent même pas fichues de vérifier qu’elles ont été correctement exécutées.
    
    Quant à la vie de tous les jours, n’en parlons même pas : c’est ce genre de pétasses allumeuses qui sortent tout le temps en bottes, passent leur temps à se maquiller, à se remettre du vernis sur les ongles, et à prendre une femme de ménage chez elles pour plusieurs heures par jour. Même pas foutues de prendre un balai, de faire même une fois par an les poussières, incapables de cuisiner un plat (je ne parle pas de réchauffer un surgelé) ; dès qu’elles invitent, elles prennent un traiteur.
    
    Ce que je dis peut paraître ...
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