Gain en famille (3) - Histoires de Sexe

Gain en famille (3)

... relevés.

— Eurk, fit-il avec dégoût.

— Ne commence pas avec ça, c’est nul et je le sais, répondit-elle au tac au tac. Je ne te force pas à regarder.

Il passa devant la télé et s’aperçut qu’elle n’avait pas de culotte sous la jolie robe qu’elle portait.

(Elle se fout de moi.)

Elle vit la direction de son regard et en profita pour écarter les jambes un peu plus.

(Je vais céder...c’est écrit...qu’est-ce que je disais déjà ? Des diablesses, elles sont toutes les trois des diablesses...et je vais céder, et en fait j’ai déjà cédé.)

— T’as vu avec Tina, on s’est rasées entièrement, dit-elle avec un sourire lascif.

(C’est ça, rajoutes en, mais on peut être deux à jouer à ça !)

Il s’assit à ses pieds, passa sa main droite entre ses jambes.

— Fait voir, dit-il en caressant la peau du mont vénus. C’est vrai, c’est tout doux.

Sous la surprise, elle reteint sa respiration et se relâcha en sentant l’index la frontière de ses grandes lèvres.

— Ouh là! Qu’est-ce que tu me fais ? Demanda-t-elle, effrayée par les sensations.

Il passa sa paume sur tout le sexe, le caressant avec une grande attention.

— J’aurai presque envie d’y passer la langue.

Sally frissonna sous les caresses et ne put lâcher que des « Ho » ou des « Ah ». Sous sa main, Nicolas sentit la fente libérée du liquide. Il enfonça la première phalange de son index et au bout de trois minutes de va-et-vient, il sentit des goûtes couler sous son poignet.

Toc ! Toc !

Il retira sa main ...

... l’essuya dans un mouchoir et alla ouvrir la porte. Tout ça sous le regard atterré de sa sœur.

— Habille-toi correctement, ce sont les gens du restaurant.

Complètement perdue, elle s’assit sur le canapé, remit sa robe mais ne se leva pas.

— Tu peux te lever aussi, dit-il en insistant.

Elle n’osa pas le regarder et répondit :

— Je ne peux pas !

Il leva les yeux au ciel.

— Et pourquoi donc ?

Elle prit la mouche.

— Parce que j’ai une grosse tache au niveau de la chatte, connard !

Il haussa les épaules et ouvrit la porte.

— Bonjour Monsieur Chapuis, nous venons préparer la table.

— Bonjour, répondit Nicolas en les invitant à entrer.

Le personnel entra et salua Sally. Le chef d’escouade ouvrit la porte de la salle à manger. Ils dressèrent la table avec une magnifique vaisselle.

— Ouah ! Elle est superbe.

— C’est une ménagère Hermès, monsieur est connaisseur, dit le chef mais sans aucune moquerie.

À la moue comique de Nicolas, le chef eut du mal à ne pas rire. Il laissa des cartes et expliqua qu’un sous-chef viendra présenter la carte d’ici quelques minutes. Dès qu’ils furent partit il cria à sa mère et Tina qu’il fallait qu’elles soient prêtes pour la visite du sous-chef.

Il retourna à coté de Sally et leva sa robe.

— Il y a du dégât.

Il reprit les caresses et cette enfonça entièrement son index sous les soupirs de surprise et de plaisir de Sally et ce, jusqu’à l’arrivé de leur sœur qui était vêtue de la même robe. Il partit ...