Papa, maman, mon frère et moi (1) - Histoires de Sexe

Papa, maman, mon frère et moi (1)

... est contre mon petit trou, il donne un coup de reins.

Mon anus refuse de s’ouvrir, papa marmonne, il saisit sa queue et la maintient contre ma petite porte, il donne un coup de reins, je pousse un cri terrible.

Le gland est en moi, je ressens comme une brûlure, papa pousse encore, irrémédiablement, sa bite s’enfonce dans mes entrailles.

Je halète, j’ai la bouche grande ouverte.

— ça va ma chérie ?

— Oh pas trop, doucement papa, ça fait mal.

— Oui je sais, mais tu vas prendre un pied d’enfer, fais-moi confiance !

La progression est lente, papa fait du mieux qu’il peut, je grimace en serrant les dents, je souffle fortement.

Enfin, je sens ses couilles contre mes fesses.

Papa cesse tout mouvement, il attend que la douleur diminue.

Il commence de très lents va-et-vient, doucement, la bite paternelle coulisse dans mon fondement, je grogne un peu, mais rapidement, je ressens du plaisir.

Papa accélère, j’ai le cul en feu.

Ryan a délaissé maman, il s’approche de moi, prend entre ses pouces et ses index mes tétons, il les presse, les étire doucement en les pressant plus fort, j’ouvre la bouche, mais aucun son n’en sort.

Papa augmente la cadence, ma respiration s’accélère, mon souffle est court, je m’arc-boute pour qu’il me prenne bien à fond, je geins de bonheur.

Mes gémissements l’encouragent, il ressort entièrement sa bite pour la replonger rapidement au plus profond de moi.

Je pousse des cris à chaque fois qu’il ...

... réitère le mouvement.

J’adore ce mélange de douleur et de douceur, papa me pilonne allègrement, il me fixe du regard puis dit :

— Alors, ça va ma chérie, tu aimes ?

— Oui, papa, trop bon, continue, continue encore !

Les coups de reins redoublent, je pousse un râle d’enfer, ma cyprine gicle avec force, papa hurle à son tour, il remplit mes entrailles avec son sperme épais.

Il donne encore quelques coups puissants avant de retirer son pal gluant de mon orifice rassasié.

Maman, insatiable, se frotte rageusement le clito, elle jouit encore, mais ne cesse de se branler.

Sa chatte et son anus sont restés ouverts, les trous béants sont une provocation pour papa.

Il enfonce facilement une main dans chacun des trous.

— Oui, vas-y à fond mon salaud, je suis brûlante, je veux jouir encore et encore !

Les deux mains sont enfoncées jusqu’au poignet, papa la fiste comme un beau diable.

— Tiens, tiens salope, gicle encore !

Maman couine comme une truie, elle se cabre et pousse un cri à faire peur, elle a une jouissance terrible, son corps est secoué de spasmes violents.

Papa me regarde et dit :

— Elle a toujours des orgasmes très bruyants ta salope de maman !

Il ferme les poings et la ramone sauvagement, maman a des giclées successives, j’ai l’impression que cela ne finira jamais, ses yeux sont exorbités, ses râles deviennent rauques.

Soudain, elle s’écroule, les bras en croix.

— Cette fois, elle en a assez ! ironise papa.