1. Le dîner (suite et fin)


    Datte: 10/03/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail caférestau, toilettes, amour, chantage, Masturbation intermast, fgode, uro, Auteur: Sun Tsu, Source: Revebebe

    — Alors commence par me resservir une coupe, tiens !
    — Il faut que j’aille chercher une autre bouteille, attends-moi.
    
    Et il retourne à l’intérieur. Tout en allant vers le bar, il cherche Christèle des yeux et finit par la trouver. Rapidement il va vers elle.
    
    — Ah ! Te revoilà ; dis donc, elle te drague ou quoi ? dit-elle avec un sourire complice en regardant dans la direction de Stéphanie.
    — Non, mon ange, c’est pas tout à fait ça. Je te raconterai tout à l’heure. Et toi, ça va ?
    — Oui, oui, je m’ennuie un peu sans toi. Tu sais, à chaque mouvement que je fais, j’ai l’impression de couler de plus en plus. C’est infernal ces boules… mais j’adore !
    
    Elle lui a glissé cette dernière confidence à voix basse et avec un regard un peu allumé. Il repense aux heures qui ont précédé et ressent, lui aussi, quelques doux picotements…
    
    — Débrouille-toi pour être assis à côté de moi à table, d’accord ?
    — Oui, promis. Là il faut que je ressorte, j’ai promis de ramener du champagne à Stéphanie. À tout à l’heure, mon amour.
    
    Ayant récupéré une bouteille, il se retrouve très vite auprès de Stéphanie et remplit sa flûte. En prenant un ton un peu guindé, il lui dit :
    
    — Voilà Madame, votre champagne préféré.
    — Merci, mon brave ami.
    
    Comme le champagne a un peu moussé, elle trempe son index dans la mousse pour éviter que la flûte ne déborde et le porte derrière son oreille droite.
    
    — C’est bon signe, n’est-ce pas ?
    — Comment ça, c’est bon signe ? Tu me parles de quoi, ...
    ... là ?
    — Hum, comment te dire ça…
    
    Elle fait une moue mutine avec sa bouche et finit par se lancer, sur le ton de la confidence.
    
    — Eh bien, voilà, à chaque fois que je me suis mis une goutte de champagne derrière l’oreille, j’ai pris un pied pas possible dans la soirée ou la nuit. C’est pour ça que je disais que c’était bon signe que la flûte déborde un peu, tu me suis mieux ?
    
    Il manque de laisser tomber sa propre flûte et la regarde avec un regard un peu ahuri. Il s’attendait à tout un tas de choses, mais certainement pas à ce genre de confidence. Surtout que Stéphanie et lui ne se connaissaient guère ; travaillant sur des sites différents, ils ne s’étaient pas souvent vus par le passé.
    
    — Ah, je comprends en effet. Eh bien, je trinque à la folle nuit qui t’attend alors ! Je suis sûr que l’effet se renouvellera. Tchin !
    
    Ils trinquent tous les deux et elle a l’air de plus en plus allumée. Il la détaille discrètement. Sans un être un « canon », elle n’en est pas moins mignonne. Son visage n’est pas très beau (en fait, surtout, parce qu’elle ne fait pas d’effort pour se mettre en valeur), mais elle a un corps plutôt bien proportionné. Une bouche un peu mince, mais des yeux noisette légèrement allongés qui font penser à Audrey Hepburn. À l’inverse de ses fringues habituelles qui sont très « passe-partout » (pour rester poli…) elle a mis une jupe portefeuille et une chemise d’homme nouée à la taille. Il peut deviner des seins plutôt mignons, mais, ce qui le surprend ...
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