1. COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (11/16)


    Datte: 10/03/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... se soit posé des questions.
    
    J’en reprends une gorgée et j’aime, nous nous partageons la bouteille entre deux bouchées de pain jusqu’à ce que la bouteille soit vide.
    
    • Viens Blanche déshabillons-nous et allons-nous baigner.
    
    J’essaye de me lever, mais je m’écroule sur la terre de la cabane.
    
    • Tu es saoule Blanche, tu aurais dû boire avec modération, viens que je te déshabille.
    
    Elle me défait la coiffe m’aide à me relever et en me faisant tenir la table rapidement elle me met nue, elle aussi, elle m’enlève mes bas et récupère mes Louis que je cache à l’intérieur.
    
    Me soutenant, car mes jambes refusent de se mettre l’une devant l’autre comme à leur habitude, nous approchons de la rivière où elle me fait descendre à côté de la barque sur une petite partie sableuse, l’eau sur mes jambes et mes pieds est agréable surtout après la marche toute cette journée.
    
    • Assieds-toi, mets ton derrière dans l’eau, je vais te rafraîchir la nuque.
    
    J’ai du mal à parler, car la terre tourne autour de moi, j’essaye de m’exprimer difficilement.
    
    • Tu, tu n’as aucun un problème !
    
    • Arrête de parler, si je suis un peu saoule, mais je maîtrise, allée assise.
    
    Je suis son conseil, l’eau froide sur mon fessier et sur ma chatte me fond du bien, mais je suis loin de retrouver une vision normale.
    
    Elle prend de l’eau dans sa main, m’en asperge la nuque, les choses s’améliorent un peu, l’envie e vient de baigner, là encore pour la première fois dans de l’eau ...
    ... courante.
    
    Je me laisse aller, j’ai le plaisir d’être allongé dans l’eau qui me fait un bien fou, d’un coup, je veux mettre mes pieds sur le fond et la terre m’abandonne.
    
    • Blanche, je suis là, revient vers moi.
    
    Je sens que l’on me tape sur les joues et que j’ai de l’eau qui monte dans ma bouche.
    
    • Ouf, tu m’as fait peur, j’ai cru que tu t’étais noyée.
    
    Noyée, qu’est-ce qu’elle veut dire, je finis par arriver à parler d’une voix incertaine, je sens de l’herbe fraîche sous moi, tiens, je suis sortie de l’eau pourtant, j’étais bien.
    
    • Comment, suis-je arrivée ici, tu m’avais mis dans l’eau ?.
    
    • Oui, tu as eu l’idée saugrenue d’aller nager et tu as coulé.
    
    • Qui m’a sauvé ?
    
    • Moi.
    
    • Tu sais nager !
    
    • Non, mais tu sais quand nous étions dans le clocher, tu m’as appris que lorsque l’on veut l’ont peu en déplacent la cloche malgré nos faibles muscles.
    
    • Embrasse-moi, ma sauveuse.
    
    Elle m’embrasse comme j’aime que l’on me le fasse quand on a des sentiments envers l’autre et malgré un léger mal de tête, je sens ma chatte mouillée, avoir repris vie grâce à Agnès me donnent des envies de plaisir.
    
    À moins que le vin y soit aussi pour quelque chose.
    
    Elle m’embrasse, je m’aperçois que j’ai le même plaisir que lorsque le Duc m’a embrassé, est-ce cela l’amour.
    
    Quand elle descend s’occupant de mes seins puis de mon nombril, comme je l’ai fait chez notre curé pendant qu’elle se faisait sauter pour la première fois par une verge masculine fût-elle celle d’un ...