COLLECTION ANNE MA MUSE. Comptable, je fais la pute pour aider mon patron (1/2)
Datte: 22/08/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... aucun soupçon.
- Vu sous cet angle, j’accepte.
Il va sans dire que si je joue le rôle de votre maîtresse, je veux que vous évitiez les mains baladeuses.
- Ne vous en faites pas, je suis fidèle à ma femme, j’ai trop à perdre et sans vous vexer, vous êtes un peu vieille pour moi !
Un dernier point, avez-vous une robe du soir car je vous emmène au restaurant de son hôtel cinq étoiles !
- Non, tout juste un tailleur présentable, je vis en jean hors du bureau.
- Voici l’adresse d’une modiste non loin d’ici, c’est une amie, elle va palier ce problème.
Je m’arrangerais pour le paiement, elle vous fournira tout ce qu’il vous faut et je passerai vous chercher à huit heures à cette adresse,
Prenez un taxi, entrez dans le hall, code ABB40.
Tu seras rejointe par Gisèle et vous sortirez toutes les deux quand j’arriverai avec Monsieur Abdalla.
Je constate le "tu", mais je me tais, ne suis-je pas sa maîtresse, donc pas d’impair demain, si c’est mon amant, il serait mal venu que je lui dise "vous".
Je vais chez la modiste, elle me sort une robe du soir à ma taille.
Elle est rose, elle se porte sans soutien-gorge, à la limite de l’indécence, moi qui malgré mes cinquante-huit ans en ai des lourds mais encore très fermes.
- Madame Anne, il y a un petit problème.
Je viens d’enfiler la robe.
Elle est courte dégageant mes genoux.
Son décolleté est arrondi, ce qui fait ressortir mes "poires".
- Vous portez toujours de telles petites culottes ...
... ?
- Oui, elles plaisent à mon mari.
- Deux solutions, vous l’enlevez et vous restez nue sous la robe où vous mettez un string.
Elle ajuste deux ou trois détails.
Le soir j’embobine Pierre en lui racontant qu’une amie que je connaissais avant de le rencontrer, s’appelant Gisèle habitant à Rome, étant de passage à Paris m’invite à dîner ensemble.
Elle m’a demandé de mettre cette robe du soir ainsi que les chaussures et le sac à main assortie, ça ne va pas nous coûter un sou, elle paye tout.
J’ai de la chance, Pierre est près de ses sous, même un peu radin alors rassuré, comme tout est payé, il retourne lire tranquillement son journal.
Quant à Gisèle, je lui ai dit, qu’elle avait fait fortune et ne fréquentait que les hôtels de hauts standings, d’où la robe et les accessoires.
C’est comme ça que j’arrive à l'adresse indiquée par Jean, nom de mon patron, je fais le code et je rentre, je suis pile à l’heure.
Cinq minutes plus tard, la porte s’ouvre et une grande liane, tout l’opposé de moi, entre.
Elle a une jolie robe qui doit elle aussi coûter bonbon étant violine, comment fait-elle pour tenir debout sur ses talons qui ont au moins 15 cm de haut.
Ils sont au moins cinq centimètres plus hauts que les miens !
Nous avons à peine le temps de nous présenter.
Elle est au courant d’une partie de la soirée, son but étant l’homme noir qui descend de la voiture du patron pour nous ouvrir la porte arrière.
Stature d’athlète, une vraie montagne, il fait ...