1. Ma soeur Houda (3)


    Datte: 21/08/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Noureddine Bouhahmed, Source: Xstory

    ... dis de s’asseoir dessus. Elle écarta ses jambes, prit ma queue d’une main, l’ajusta contre sa fente et s’assit lentement dessus. Bordel que c’était chaud et humide !
    
    Je lui pris un sein et me mis à en lécher la pointe du bout de ma langue, pendant que je triturai l’autre. Elle montait et descendait sur ma queue, ses bras entourant mes épaules. Sa cyprine coulait le long de ma hampe et venait imprégner mes testicules. J’étais dans un autre monde !
    
    — Houda, tu baises comme une vraie pute, je t’adore !
    
    — J’aime quand tu me défonces et que tu m’inondes de ton sperme chaud.
    
    Elle haletait en serrant les cuisses autour de mes jambes. Tantôt, elle montait et descendait sur ma verge, tantôt elle donnait des coups d’avant en arrière.
    
    — Houda ! Je sens que je vais jouir !
    
    — Vas-y, vas-y, inonde-moi la chatte !
    
    Je me mis à me déverser dans son antre chaud et humide. Des flots de sperme ! Elle cria son plaisir et s’abattit sur mon épaule. Je lui caressai le dos pendant qu’elle m’embrassait la bouche.
    
    — Je t’aime.
    
    — Moi aussi Houda.
    
    Elle se releva, mit sa main entre ses cuisses, introduisit ses doigts dans sa fente et les retira pleins de sperme, qu’elle lécha en avalant.
    
    — Mmm, j’aime le goût de ton jus.
    
    Elle se retourna pour aller vers la salle de bain. Ses fesses majestueuses se dandinaient tandis que ses cuisses ...
    ... pleines dégoulinaient du reste de ma semence. A chaque fois, c’est comme un choc que de la baiser ! Elle revint quelques instants plus tard.
    
    De la voir ainsi nue, avec les courbures de ses cuisses pleines, la rondeur de ses hanches et ses seins rebondissant à chaque pas, j’en avais le tournis. Une vraie déesse de l’amour. J’aurais bien voulu la prendre de nouveau mais mes parents n’allaient pas tarder à revenir. Elle se rhabilla et vint se lover dans mes bras. Je l’embrassai en la caressant dans le dos.
    
    — A ce soir alors ? D’ici là, j’aurais encore plein de sperme pour toi ma belle.
    
    — Oh oui, j’attendrais avec impatience qu’on soit au lit pour une autre sauterie.
    
    — Je veux être ta pute.
    
    — Eh bien alors, dans ce cas, plus de rebeux, hein ?
    
    — Non non, je ne veux plus baiser avec ces brutes. D’ailleurs, ils ne savent pas y faire et c’est pas souvent que je prends mon pied même quand ils s’y mettent à deux, l’un à la suite de l’autre ; ce qui ne les empêche pas de jouir à chaque fois comme des bêtes, en m’envoyant chacun ses flots de sperme du bout de leur gros gland circoncis.
    
    — OK, OK, ne m’en dis pas plus ; ça me fout en rogne !
    
    (Bien que le fait de savoir que c’est une pute assoiffée de grosses bites, de l’entendre ainsi raconter ses histoires de baises avec ces gens-là me fait bander encore plus !)
    
    Fin de l’histoire. 
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