1. Expérience unique... réelle


    Datte: 21/08/2019, Catégories: hh, inconnu, hsoumis, hdomine, Transexuels Auteur: Claudy, Source: Revebebe

    ... m’exécute en rougissant. Je me penche vers lui et tends mon verre. Quand il me sert, je tremble tant son regard s’est fait arrogant.
    
    — À la nôtre, ma chère.
    — À la nôtre, Monsieur.
    — J’ai remarqué ta crispation devant moi lors de cette… présentation…
    — Juste de la timidité…
    — Je le souhaite pour toi, car j’espère que tu te souviens de nos accords… Cette soirée n’est qu’une première rencontre dans laquelle tu devais être " l’amante attentionnée " Il n’en sera pas toujours de même ! Tes rôles varieront.
    — Oui, Monsieur. Je sais que, dès que vous me contacterez, je serai à votre service, virtuellement ou concrètement.
    — Je vois que tu as retenu la leçon et c’est bien. Je pense que nous en resterons là pour ce soir, car je n’ai pas beaucoup de temps. Tourne-toi quand même, que je puisse t’admirer dans ce petit bout d’étoffe…
    
    Je fais le demi-tour demandé et présente à son regard mon derrière dont seule la raie est couverte… Sa main gauche, passant entre mes cuisses, vient me saisir les bourses et me tire en arrière. Le but n’est pas de me masser les testicules, mais de me rapprocher de lui. Une main me caresse les fesses, puis un doigt ...
    ... s’insinue sous le string et vient me toucher la rondelle. En même temps que la prise se resserre sur mes bourses, le doigt frémissant franchit l’anneau et progresse. Quand j’ai une réaction, l’autre main m’écrase les bourses et le doigt semble en profiter… Sans me lâcher, il me dit :
    
    — C’est bien comme tu me l’avais dit… petit, mais cela s’arrangera. Je vais te laisser pour ce soir. Mon doigt va t’aider à te mettre à genoux, puis à quatre pattes, la tête au sol. Tu resteras ainsi jusqu’à ce que je te rappelle.
    
    Il joint les actes à la parole : sa main lâche mes bourses et vient faire pression sur ma nuque sans que le doigt ne quitte mon intérieur. Je me retrouve ainsi à genoux, puis à quatre pattes et il libère à ce moment mon fondement. J’entends ses pas et sans oser relever la tête, devine qu’il s’habille. Le dernier bruit est celui de mon portable qu’il pose près de ma tête…
    
    Moins d’une minute après, la sonnerie me fait relever la tête et me saisir du portable :
    
    — Oui ?
    — Je te libère… pour l’instant. Je te conseille cependant de garder cet esprit de dépendance vis-à-vis de moi… Cela facilitera sans doute notre prochaine rencontre… 
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