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La Gestionnaire (27)
Datte: 21/08/2019, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... montre ton abricot ! Virginie stoppe les demandes : — Chacun a son tour... Je vais vous montrer mes seins... Mais je préfère que quelqu’un s’en charge... qui ? Les "moi" fusent... — Bien puisque vous ne vous décidez pas, c’est moi qui vais choisir... Elle passe dans la foule. Elle s’arrête devant plusieurs hommes, puis repart. Elle stoppe devant moi. Je ne pense pas qu’elle en reste là vu que Carole s’est rapprochée de moi. Virginie va plus loin, puis revient : — C’est toi qui vas montrer mes seins à tous... — Je ne me contenterai pas que de cela... — Tu demanderas et je t’obéirai... — Je suis sûr que tu n’oseras pas... — Chiche ! — OK ! J’avance vers le simulacre de scène. Je jette un coup d’œil à l’assistance. Carole est là au premier rang. Ses yeux bleus me fusillent. Je passe derrière Virginie. Mes mains se posent sur ses hanches. Lentement je remonte sur sa taille... puis empaument les deux dômes enchâssés dans la dentelle. Je masse les rondeurs lourdes et fermes. Virginie se fait plus lourde, s’abandonne aux caresses. Mes doigts franchissent la barrière haute de dentelle. D’un coup sec, je baisse les bonnets de dentelle de la guêpière. Les seins apparaissent aux vues de tous les spectateurs. Un "Oh" de plaisir jaillit. C’est le petit grand-père ! Il va finir par péter une durite avant la fin de la soirée. Les seins ont sauté hors de leur prison et pointent fièrement sur le torse gracile de Virginie. Je palpe les deux masses chaudes. ...
... Mon regard se porte sur l’assistance. Carole, face à moi se cambre pour faire saillir sa poitrine. Il faut bien dire qu’elles ont des seins identiques, jumeaux. Tout en continuant le massage d’un sein ma main s’aventure dans son dos. Je trouve les rondeurs de son cul. Mon majeur trouve le sillon. Il glisse puis trouve l’anus. Deux ou trois caresses légères puis une entrée nette, sans aucune hésitation. Virginie se cambre et crie face à cette agression inattendue. Une fois la surprise passée, je sens les fesses s’épanouir, s’écarter pour faciliter l’entrée de mon majeur. Il est rapidement accompagné de mon index et de mon annulaire. Virginie souffle et tente de reprendre respiration. Elle commence à apprécier le traitement que je lui fais subir. Elle se déchaîne. Elle rue du cul comme une pouliche en rut. Mes doigts pénètrent son petit trou du cul jusqu’à la paume. Je lui pince le mamelon. Son orgasme explose. Elle crie dans le couloir. Son hurlement résonne. Elle se prend les fesses à pleine main et s’écarte les globes au maximum. Il n’y a plus de vallée entre ses fesses. Son anus est au même niveau que le gras de ses fesses. Elle s’empale à fond avant un dernier râle. Puis elle s’effondre sur ma main, encore fichée dans ses entrailles. — Putain que c’est bon ça, c’est quand tu veux pour recommencer, où tu veux et quand tu veux ! — Nous verrons cela salope ! Je rejette le paquet en avant et libère ma main. Un évier est là. — Virginie, nettoie tes saloperies, ...