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La Gestionnaire (27)
Datte: 21/08/2019, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... sol. Sa tenue est belle. Je reste ébahi. Un collier noir et clouté lui ceint le cou. Une laisse pend entre ses seins. Sur son corps, un serre taille de cuir noir est son seul vêtement. Il remonte haut et englobe ses seins en les laissant libres. En bas, il laisse le bas-ventre libre et accessible. Des jarretelles courent sur ses cuisses pour soutenir des bas résille très fins. De hautes bottes de cuir fin noir la chaussent. Sur le côté des chevilles des anneaux métalliques brillent. En haut des jambes, dans la portion de chair douce et soyeuse laissée libre par les bas, une sangle entoure chaque cuisse. Des anneaux métalliques brillent aussi. Les poignets sont aussi ceints de larges bandes de cuir noir. Elle se tient les jambes écartées. Mon regard parcourt le corps de Carole. Je suis émerveillé, comme un gosse devant le sapin de Noël. — Tu es merveilleuse, superbe... — Je vous remercie, mon Maître adoré. Vos compliments me vont droit au cœur. Mais pour terminer ma tenue, il fait que vous m’attachiez les poignets à mes bracelets de cuisses... — Tout de suite ? Tu peux attendre que nous partions à la soirée... — Non je veux que vous m’immobilisiez dès maintenant ! — Bien ! Je m’approche d’elle. Elle n’a toujours pas relevé les yeux. Je verrouille les poignets aux cuisses. — Merci Maître... Je suis à votre entière disposition... Je passe ma main entre ses cuisses. Elle facilite l’accès à son ventre en basculant son bassin vers moi. Elle a le sexe ...
... légèrement proéminent. Il est très harmonieusement dessiné. Ses grandes lèvres charnues et épaisses cachent jalousement leurs petites sœurs rosées, très peu ourlées. Au sommet de sa fente bien close et serrée, le capuchon de son clitoris se devine à peine. Son sexe est chaud et humide. Je cherche son clitoris. Elle écarte encore plus ses cuisses. Il est là caché sous son capuchon. Je l’extrais. Je le roule entre l’index et le pouce. Elle gémit et serre les cuisses... — C’est bon, c’est trop bon...... J’arrête la caresse. Je saisis de la main gauche ses cheveux. Je tire en arrière sa tête. Je découvre son visage. Elle grimace devant cette douleur subite. Je veux voir son visage. Bloquant tout mouvement velléitaire par mon coude dans son dos, de la main droite je lui lève le visage. Ses yeux sont fermés. Aux coins des perles brillent. — Ouvre les yeux ! Les taches d’eau bleu marine me regardent, légèrement embuées. — Embrasse-moi, esclave ! Je ne fais aucun effort pour lui faciliter la tâche. Elle se hisse sur la pointe des pieds. Sa bouche s’ouvre et attrape mes lèvres, sa langue s’enroule autour de la mienne. C’est un baiser ventouse, pieuvre auquel j’ai droit. Je lui rends amoureusement. Je lâche ses cheveux. Mes mains passent sur sa poitrine. Les pointes tendues frottent sur mes paumes. Je saisis les pointes entre l’index et le pouce. Je les malaxe, les tourne, les pince. Elle se tortille tout en prolongeant son baiser. Je quitte ses seins. Mes mains prennent ...