1. La Gestionnaire (27)


    Datte: 21/08/2019, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory

    ... a fermé les yeux, mais son visage respire l’inquiétude du premier coup qui doit venir mais qui ne vient pas. Je positionne le bout de la baguette sur l’anneau de son cul. Je presse légèrement sur celui-ci. L’anus se laisse conquérir sans aucune difficulté. Il s’ouvre et engloutit la tige. Je pratique de petits mouvements de va-et-vient de la badine. Le cul apprécie cette caresse. Il s’humecte et mouille la baguette. J’annonce aux spectateurs :
    
    — Elle mouille du cul cette petite salope !
    
    Elle s’abandonne complètement et tire sur ses jambes pour offrir encore plus son petit trou à la pénétration.
    
    — C’est bon ! Encore ! N’arrête pas ! Continue !
    
    Elle est mûre pour la découverte de la soumission. C’est l’instant que je choisis pour de l’autre main commencer la fessée que je me suis promis de lui donner. Le premier coup claque sur sa fesse gauche, avec un bruit sonore. Elle sursaute. Elle n’a pas le temps de crier sa douleur, qu’un deuxième coup s’abat sur sa fesse droite. Je laisse planter dans son anus la baguette de bois. Des deux mains, je la fesse. Je pleure très vite, mais je ne cède pas à la tentation d’indulgence. Elle gémit et elle crie. Rien ne me fera changer dans la correction prévue. La baguette remue selon les soubresauts de son cul. C’est assez comique ! Son petit cul commence à changer de couleur. Il rougit et les traces de mes mains commencent à se dessiner. Tout en continuant à la manière d’un métronome, je constate que la chipie se tortille ...
    ... toujours autant. Mais son sexe est de plus en plus luisant. Sa mouille bave de sa chatte et dégouline de chaque côté. La baguette se trouve humidifiée par l’afflux de cyprine.
    
    Son clitoris, arrogant baigne dans son capuchon. Si son cul est aux enfers, sa chatte est au paradis. Dans le tube, je choisis deux objets qui me semblent convenir à la jeune écervelée. Deux godes de bonne taille, l’un noir l’autre chair vont clore la séance. J’ôte la baguette et pointe le noir sur sa pastille brune. Je pousse. Elle se refuse :
    
    — Non, arrêtez ! C’est trop gros !
    
    Je ne tiens nul compte de ces jérémiades. Le second trouve l’entrée avant. Je l’enfonce. Il est muni d’une languette qui vient appuyer sur le clitoris de la belle. Elle se cabre et conserve les deux objets dans son ventre. J’attends sa réaction. Et là je suis surpris d’entendre une petite voix, au ton presque suppliant me demander :
    
    — Frappez-moi encore, s’il vous plaît.
    
    Elle n’a pas joui. Mais je m’aperçois qu’elle aime la fessée. Dans le tube, un martinet, un vrai comme ceux que les enfants du début du dernier siècle connaissaient bien, me nargue. Je m’en saisis.
    
    — Puisque tu me le demandes si gentiment, je ne peux pas te le refuser...
    
    Les lanières claquent sur les fesses encore rouges. Cette fois, je n’y vais de main morte. Bien au contraire, je cherche réellement à lui faire mal. Son sexe n’est pas épargné. Elle ne crie plus. Elle s’offre aux lanières de cuir. Elle va à leur rencontre. Le dixième coup est le ...