1. Journal d'une femme adultère (1)


    Datte: 21/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... prénom de Lady Chatterley.
    
    - Mais vous n'êtes pas garde-chasse, vous êtes jardinier, je lui ai répondu.
    
    - C'est presque pareil.
    
    On était au dessert et là dessus, il se lève, fait le tour de la table, me prend la tête et m'embrasse pleine bouche ! D'abord tétanisée, j'ai ensuite fondu comme un ice cream en plein soleil. Ensuite, c'est allé très vite. Il a repoussé les assiettes, m'a assise sur la table, tiré sur mon short et mon slip, viré mes tongs, a pris une chaise où il s'est assis et a plongé son nez dans ma broussaille. Je n'avais pas eu droit à un cunni depuis, ouf, je ne m'en souviens même pas. Celui-là n'a pas duré treize minutes comme dans un film récent mais suffisamment longtemps pour que je me mette à bouillir de la tête au pied. Quand il a levé son nez, sa barbe était barbouillée de mon jus intime. Il a baissé son short et m'a montré sa queue.
    
    - Regarde ce que je vais te mettre dans ta chatte. Tu la veux vraiment ?
    
    Comment aurais-je pu refuser ? C'était la plus belle bite que j'ai jamais vue. Longue, épaisse, légèrement courbée avec un gland parfaitement dessiné, brun et gonflé. Au lieu de lui répondre, et après qu'il eut mis une capote, je l'ai prise et l'ai dirigée vers ma chatte. Baiser sur une table de cuisine, ça ne m'était jamais arrivé. Incroyable comme la pénétration est puissante. Si je puis emprunter une parabole musicale, il m'a prise d'abord largo, puis allegro et carrément allegretto. Les mains en appui sur la table, il a creusé ...
    ... inlassablement mes profondeurs et sentant ses couilles balloter contre ma peau, je me suis mise à couiner comme une chatte en chaleur. Je me sentais ultra femelle sous le joug de ce mâle hypersexué qui me percutait sans concession. Une sensation vraiment inédite, électrisante. Je ne pensais plus qu'à cette grosse bite qui me forait comme une excavatrice.
    
    Puis il s'est détaché de moi dans un bruit mouillé, s'est assis sur une chaise, a enlevé son débardeur, a exposé un torse puissant, velu et tatoué, m'a prise par les hanches et m'a déposée sur son dard où je me suis empalée avec volupté. C'était à moi de jouer. Je lui ai mis mes nichons dans le pif et je me suis mise à danser sur sa queue. Je ne m'appartenais plus vraiment. Si le verbe "baiser" veut dire quelque chose, alors, oui, je baisais. Ce que nous faisions, c'était du sexe et même du sexe hard. Une grande première pour moi. Il me prenait sous les fesses, me soulevait et me faisait retomber sur sa bite jusqu'à la garde, m'arrachant à chaque fois un cri de plaisir. Je me rendais compte alors que j'avais vraiment, mais vraiment besoin de ça depuis longtemps. En plus, il m'excitait avec des mots qu'en d'autres temps, j'aurais trouvés vraiment vulgaires, du genre : "tu l'aimes, ma bite hein, petite cochonne !" Et je faisais oui de la tête.
    
    Sans effort, il m'a soulevée, m'a déposée par terre gentiment, m'a pliée en deux et m'a mitraillée de coups de queue jusqu'à ce que je perde à demi connaissance et m'arrose de son sperme ...