1. Balade pas trop loin de Lille et retour


    Datte: 21/08/2019, Catégories: fhh, couplus, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... cyprine s’enfonce immoralement dans mon petit trou sombre !
    
    Ce salaud sait très bien ce qui me fait décoller ! À peine son pouce bien calé en moi, dans mes chaudes profondeurs, mon clitoris agacé, titillé, presque à vif, ses doigts occupant ses profondeurs humides, je sens un cyclone s’abattre sur moi, me faisant vibrer de plaisir, ma bouche toujours dévorée, mes fesses capturées, ce sexe contre le mien, deux homme pour moi !
    
    Ma jouissance est infernale, je vrille de tout mon corps, en de multiples hoquets, comme un frêle esquif dans un océan tourbillonnant de plaisirs !
    
    La suite sera un long câlin, bercée par quatre bras, deux bouches…
    
    Un long câlin si doux et si possessif…
    
    De retour chez nous, fatiguée par tous ces événements, je m’allonge dans le canapé. Valentin semble lui-aussi fatigué et m’explique que souvent, il fait la sieste. Pas une grande sieste, mais quinze-vingt minutes, ça suffit. Puis s’excusant, il part dans la chambre d’amis.
    
    Pascal, lui, se penche sur son ordi ; lui, il ne fait jamais de sieste, ou si peu. Je me lève, je vais me servir un verre de boisson fraîche. Puis posant mon verre dans l’évier, je me décide. Je m’approche de mon mari, je dépose un bisou sur sa joue :
    
    — Je pense que je vais aller faire une petite sieste, mais pas seule…
    — Tu retentes ta chance en solo ?
    — On va le dire comme ça… Au fait, tes phrases en allemand, c’était pour vous mettre d’accord pour me violer ou quoi ?
    — L’allemand est une langue utile, ...
    ... n’est-ce pas ?
    — Tu es un gros salaud, mon amour !
    
    Puis je vais rejoindre Valentin. Celui-ci en me voyant arriver me lance, goguenard :
    
    — J’aurais été déçu si tu n’étais pas venue…
    — Tu vois, je te suis indispensable !
    
    Il se contente de rire, puis écartant les bras, il me dit :
    
    — Allez, viens ! Mais seulement la sieste, ok, Nella ? Je crois savoir que tu as eu ta dose et moi aussi dans les bois…
    — Ok, ça me va, mon Lapin !
    
    Puis je viens me blottir contre lui. À ma grande stupéfaction, mes paupières se ferment doucement, et entourée de la douce chaleur de mon Lapin, je m’endors.
    
    Mon rêve est tout doux, comme un nuage de plumes, bercée doucement.
    
    Un rêve moelleux… béat, radieux, avec mes hommes, mes deux gentils compagnons de vie…
    
    Comme un petit nid très douillet…
    
    Je flotte… radieuse… je sens la caresse de la brise sur mon corps endormi, dans la moiteur de ce bel après-midi…
    
    Soudain, intriguée par quelque chose d’insolite, j’ouvre les yeux, Valentin est en train de caresser mes seins dénudés. Je constate avec amusement que ma robe noire me sert à présent de ceinture, le haut de mon corps étant dévêtu jusqu’au nombril, idem pour le bas qui dévoile sans vergogne mes cuisses et mon pubis ! Innocemment, je demande à mon déshabilleur :
    
    — Tu me fais quoi, là ?
    — Comme j’ai vu que tu avais chaud, je me suis permis de prendre des initiatives…
    — Je vois ça, je vois ça…
    
    Enfin de bonnes initiatives de sa part ! D’un geste souple, arquant mon corps, j’ôte ...
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