1. Femme sérieuse devient soumise... à cause d'une envie pressante (2)


    Datte: 20/08/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Zalava, Source: Hds

    ... comprend pas pourquoi je n'ai pas pu me refuser à Jean-Luc, me parle de mon mari. Je suis morte de honte et d'épuisement.
    
    J'appelle mon mari en prétextant que mon amie Sabine ne va pas bien pour justifier le fait que je vais dormir chez elle. Je ne dois pas être très convaincante. Il rappelle chez mon amie 20 mn plus tard pour s'assurer que j'y suis bien. Sabine est tellement abasourdie par mon histoire qu'elle n'a pas besoin de simuler son mal être vis à vis de mon mari.
    
    Je vais me coucher presque sans rien manger. Je m'endors rapidement mais me réveille en sursaut 3 heures plus tard. Je viens de faire un rêve... avec Jean-Luc ! Ma chatte est trempée. Je n'arrive pas à me rendormir ensuite. Je repense à tout cela. Les sentiments se mélangent : humiliation, douleur, excitation, plaisir intense, honte... qui suis-je vraiment ? Que vais-je devenir ?
    
    Je tourne cela dans ma tête une bonne partie de la nuit et me rendors sur le matin sans être rassurer après m'être caressée le clitoris. Mon amie vient me réveiller. Il est 8h. Je vais être en retard au boulot. Je me lave, mange en vitesse et enfile les habits qu'elle m'a prêtée. Mon mari vient me chercher pour me conduire au bureau. J'arrive pas à le regarder dans les yeux. Je dois lui mentir, lui dire que si j'ai mal dormi c'est à cause de Sabine qui est restée à me parler tout le temps. Je me sens si mal.
    
    J'arrive au travail avec une bonne heure de retard. J'évite la machine à café et me réfugie dans mon bureau. Je ...
    ... commence à traiter les mails reçus. Un mail attire immédiatement mon attention. Il a été envoyé par ma collègue de bureau d'hier. Il y a une photo, de moi, nue, en train de sucer un mec. J'ai le bandeau sur les yeux mais mon tatouage sur l'avant-bras me rend aisément identifiable.
    
    Sous la photo, une seule phrase : Si tu ne veux pas que cette photo fasse le tour du bureau, rejoint moi dans les toilettes des femmes à 10h30 pour te faire pardonner d'hier.
    
    Je suis folle. Je tourne en rond dans mon bureau. Il est 10h15, je suis remontée comme une pendule. Je décide d'aller la voir immédiatement dans son bureau. J'entre sans frapper et claque la porte derrière moi, en m'apprêtant à la traiter de tous les noms, juste avant de me rendre compte qu'elle n'est pas seule. Notre directrice adjointe se retourne vers moi, et j'essaie de reprendre contenance. Je bégaie en les priant de bien vouloir m'excuser et sors du bureau la tête dans les épaules. Je ne sais plus où j'en suis, me trouve soudain ridicule. Je me traîne jusqu'aux toilettes et je m'y enferme pour pleurer.
    
    Je n'ai pas fait vraiment attention à l'heure. Il est 10h35 quand j'en ressort. Ma collègue est là. Elle me repousse dans les toilettes sans ménagement, entre à son tour et verrouille le loquet. Elle trousse sa jupe sous laquelle elle ne porte rien et me dit tout bas :
    
    - Suce moi !
    
    - Non, Véro, il faut en rester là. Je ne suis pas comme ça. Je ne suis pas une gouine. Oublie hier, je n'étais pas dans mon état ...