1. Sexe en maison d'arrêt (1)


    Datte: 19/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Florian Catala, Source: Xstory

    Je suis incarcéré en maison d’arrêt, où je suis en attente de mon jugement pour une histoire de braquage. Ce jour-là, j’ai déconné, je le sais, surtout depuis que je suis contraint de faire vœu d’abstinence. J’ai toujours aimé le sexe, et cela a toujours été facile pour moi. Je suis un grand brun aux yeux clairs plutôt sportifs, et cela se voit sur mon corps. J’ai la chance d’avoir trouvé une femme aussi ouverte que moi, et toujours partante pour une longue partie de baise.
    
    Depuis que je suis en prison, ma seule vie sexuelle se résume à des branlettes nocturnes, quand mes codétenus dorment à poings fermés, mais les choses vont bientôt changer, mon amie a enfin obtenu un droit de visite, et en ce moment, je marche en direction du parloir pour aller la rejoindre.
    
    Je suis le gardien qui m’emmène devant une minuscule pièce à la peinture qui s’écaille lamentablement. A l’intérieur, il n’y a que deux chaises, une petite table, et le plus important, Jessica qui m’attend. Elle est belle, et je remarque tout de suite qu’elle a mis une jupe. Elle n’en porte jamais d’habitude, elle est plutôt pantalon-baskets. Je connais son corps, et je sais qu’il est magnifique. C’est une danseuse aux formes fermes et sculptées.
    
    Dès qu’elle m’a entendu arriver, elle m’a tout de suite regardé droit dans les yeux. J’oublie tout, il n’y a plus qu’elle, elle et ses jambes de rêve, son ventre plat, ses fesses rebondies, ses petits seins fermes, et son visage d’ange qui me sourit.
    
    Le gardien ...
    ... nous laisse seuls, et referme, derrière lui, la porte vitrée du parloir. Nous voilà seuls. Enfin, presque, je sais par expérience que le maton passe toutes les quinze minutes.
    
    Je place ma chaise à côté de celle de ma femme, et l’on commence à parler de tout et de rien. En réalité, je ne l’écoute plus vraiment, son parfum entêtant m’enivre complètement. Je dégage une mèche de ses cheveux, et en profite pour lui caresser la joue. Elle me lance un regard coquin, je sais qu’elle est autant en manque que moi; je sais qu’elle n’attend qu’une chose : se faire pilonner par ma queue bien raide. Elle décale son chemisier pour me faire voir qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. J’aperçois un de ses tétons pointer, puis elle remet son haut en place, me laissant sur ma faim, la verge gorgée de sang. Elle me sort :
    
    — Je n’ai pas de culotte non plus.
    
    Je fais glisser ma main le long de sa cuisse jusqu’à son entrejambe pour m’en assurer. Effectivement, mes doigts rentrent tout de suite en contact avec ses lèvres lisses. Elle écarte un peu plus les jambes pour me laisser le champ libre, et je caresse son sexe. Sa respiration s’accélère, et elle m’entraîne avec elle.
    
    Je m’immobilise d’un coup, le gardien vient de passer dans le couloir. Elle se met à rire, le risque de se faire prendre l’excite peut-être encore plus que moi. Il faut dire qu’elle ne risque pas de se retrouver au mitard elle.
    
    Le gardien retourne se rasseoir, et je reprends mes caresses. Il n’y a pas de raison qu’elle ...
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