1. DES REVISIONS ET DES DECOUVERTES 3


    Datte: 10/03/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... vint se positionner face au plan de travail. Elle libéra le cordon de soie de son pantalon qui glissa sur ses chevilles , dévoilant un cul ferme et muclé, qu’elle fit saillir encore plus en s’accoudant sur le plan de travail ; Liam vint se positionner derrière elle et l’embrocha d’un coup jusqu’à la garde. Quand je quittais la cuisine, il la labourait avec force, son ventre claquant sur le cul de la belle à chaque avancée. Dans le séjour, tout le mon dormait maintenant, Nelly était allongée sur le dos , jambes écartés, un garçon de chaque côté.
    
    Dans la chambre, je regagnais mon lit, ou Valérie m’attendait.Je lui annonçait que j’étais fatigué, mais elle sut extirper de mon corps les dernières parcelles de désir qui me restaient . Après un massage entre ses seins qui me fit penser à la splendide Sophie, elle se mit à Quatre pattes, et après l’avoir longuement prise en levrette, je n’eus qu’à me décaler un peu, pour entamer une sodomie qu’elle sembla apprécier particuliérement.
    
    Je sombrais ensuite dans un profond sommeil, malheureusement, bien trop court.
    
    Je fus réveillé par Frédéric qui me ...
    ... glissa : « il est cinq heures, faut se lever. Dis donc, tu ne t’est pas ennuyé ici. Je tournais la tête, pour découvrir Léa, endormie sur le dos, les cheveux emmélés et ses seins orgueilleux, qui dardaient vers le plafond. Je soulevais délicatement le drap, pour observer son corps magnifique, son bras droit posé sur son ventre doré, un doigt fin encore fiché dans son sexe glabre.
    
    Je lachais le drap et la secouai doucement. Elle ouvrit les yeux, me sourit et vint déposer un baiser sur mes lêvres, après quoi, elle s’enroula dans le drap et s’enfuit avec, me laissant dépourvu, avec un début d’érection matinale à découvert.
    
    Une demi-heure, plus tard, après une toilette sommaire (trop de gens pour une si petite salle de bains), nous prenions notre café ou notre thé, silencieux et un peu génés, sans doute, car, en trois ans, nous n’avions jamais été plus loin que des relations de classe. Cependant, la bonne humeur reprit vite le dessus, après une petite marche dans la ville endormie, pour retrouver toute cette promotion. C’était le grand jour. Nous partions à Ibiza.
    
    Mais c’est une autre histoire. 
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