1. 2 potes hétéros (qui le sont vraiment?!) en camping (1)


    Datte: 18/08/2019, Catégories: Gay Auteur: Léo21, Source: Xstory

    ... remets les choses à leur place. Je me retourne et découvre mon meilleur pote, sous un pauvre drap, tout recroquevillé.
    
    Je pousse un petit rire qui a pour effet de le sortir de son sommeil.
    
    — Yo.
    
    — Salut mec ! Ça va ? T’as l’air pas hyperbien sous ce drap !
    
    — Nan, mais arrête ; j’ai eu trop froid !
    
    — Bah, pourquoi t’as pas bougé dans ton duvet ?
    
    — Je sais pas ; la flemme ; et j’étais bien là !
    
    Pendant qu’on discute déjà comme des pipelettes, je vois, à travers le drap, un début d’érection matinale chez mon pote. Ce qui a pour effet immédiat de développer la mienne.
    
    Thomas remarque que je bloque sur sa bite, et, joueur comme il est, va en profiter.
    
    Il enlève le drap et je découvre alors, sous ce calbut, une belle queue bien gonflée.
    
    — Ah oui, tu veux jouer à ça ? dis-je à Thomas.
    
    — T’avais l’air d’être gêné pour la mater !
    
    — Bah, ça fait plaisir de voir que tout fonctionne bien chez toi ! Lol.
    
    — J’ai pas à me plaindre, et chez toi ?
    
    Sur cette invitation, même pas dissimulée, je sors de mon duvet et exhibe fièrement mon boxer, lui aussi bien bombé ! On éclate de rire !
    
    — Eh ben, il commence bien ce week-end naturiste !!! balance Thomas. -
    
    — Même pas cap. lui répondis-je.
    
    — Tu sais très bien qu’on est tellement con, qu’on peut le faire !
    
    Allongé en calbute sur le lit, Thomas me raconte son voyage en Allemagne où il s’était laissé embarqué par des Allemands à la plage. Il me dit que là-bas, ils s’en foutent d’être à ...
    ... poil.
    
    Il me décrit sa première expérience à poil avec d’autres gens que sa copine. Qu’au début, ce n’était pas facile, mais que, au final, c’est quand même cool de se sentir libre. Je lui dis que moi, je n’ai jamais fait cela.
    
    Pris dans notre folie excitante du matin, on décide alors que jusqu’à tant qu’on parte pour l’activité du matin (on doit aller faire du canoë-kayak), on restera à poil, histoire de voir... De toute façon, on se connaît déjà par cœur !
    
    Vendu ! On se lève. Je remarque qu’il bande moins que tout à l’heure, alors que moi, je suis encore bien dur. Pas grave, je baisse mon boxer en premier.
    
    Thomas me regarde, en s’attardant sur ma queue :
    
    — Eh ben, t’as la forme, dis donc ! C’est naturel ou c’est l’idée qu’on soit à poil ?
    
    — Un peu des 2 !
    
    Et hop, lui aussi se retrouve à poil ! En fait, il bandait encore un peu le salaud.
    
    Pour éviter de trop m’attarder sur le sujet, je prends la direction du salon pour le petit-déj.
    
    Ce qui est sûr, c’est qu’on ne sera pas embêté par les voyeurs : tous les bungalows autour de nous sont fermés. Parfait !
    
    C’est donc, à poil, qu’on prend notre petit-déjeuner.
    
    Je vous passe les p’tits coups de cuillères sur les fesses et les p’tits combats gentils sur la banquette qui ne tardent pas à raviver la rigueur de nos sexes.
    
    On s’en rend compte mutuellement, s’offrant l’un pour l’autre, un p’tit clin d’œil complice.
    
    Comme si, d’un commun accord, on venait de se dire : « OK, on s’en fout ! On est libre de faire ...