1. Le printemps


    Datte: 17/08/2019, Catégories: fh, hbi, couplus, boitenuit, amour, Transexuels facial, Oral fsodo, hsodo, échange, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... de déranger les voisins.
    
    C’est en baissant les yeux que je comprends. Là où chacun attendait une chatte avec un pubis bombé et des lèvres plus ou moins prononcées, je découvre un sexe, un sexe d’homme. Petit bout de chair fripée, manifestement contrainte au sommeil, car cachée entre les cuisses par une culotte garde-chiourme.
    
    Pourtant le regard de Loïc doit y voir autre chose, car il semble en admiration. Il approche son visage. Ses lèvres entourent la verge dont le gland est totalement caché par sa protection. Le sexe disparaît et je me demande un instant si les couilles ne font pas partie du lot.
    
    Quelques secondes passent. Loïc est le centre de toute notre attention. Même Alban qui a constaté que sa maîtresse n’était pas réceptive à ses caresses regarde. Lui ne paraît pas surpris. Il devait être dans la confidence. D’une certaine façon il est le fil conducteur. Moi je n’ai été que le briquet qui allume la mèche. Loïc a suivi l’embrasement du cordon, découvert l’amant et s’en est fait un complice pour arriver à ses fins. Je comprends pourquoi cet homme n’a pas voulu avouer son secret, sa relation avec une femme/homme, mélange parfait de la féminité dans les gestes, les attitudes, les envies et d’une masculinité cachée, mais encore présente. Je trouve que le terme anglais « Shemale » résume parfaitement l’ambiguïté, mais aussi la complémentarité.
    
    Et le « She » cède la place au « Male ». Maintenant, c’est une verge en érection que Loïc nous montre. Verge sombre à ...
    ... l’image de la métissité de son propriétaire. Un gland enfin libéré de sa protection apporte la touche de rose. La salive de son suceur complète le tableau.
    
    Alban reprend ses caresses. Anaïs regarde toujours, mais c’est de la curiosité. Voir son mari pomper une bite demandera des explications, mais plus tard. Pour l’instant, elle est au spectacle. La queue s’est déployée bien au-delà de ce que le petit bout fripé pouvait laisser prévoir. Son homme s’en fait une friandise. Il s’essaie à en gober le plus possible et c’est plus que troublant de le voir reprendre son souffle en libérant des flots de salive.
    
    Loïc suce. Loïc pompe. Loïc engloutit. Loïc lèche. Loïc aspire. Loïc pousse un doigt dans le cul de sa maîtresse. Et Rosita apprécie. Elle aussi gémit. Anaïs se sent moins seule et se joint au concert. Mais Rosita attrape la tête de sa voisine pour la forcer à rejoindre son mari. En quelques secondes voici les deux époux faisant assaut sur cette queue qui semble énorme.
    
    Alban profite de ce que sa maîtresse s’est déplacée et installée à quatre pattes sur le canapé pour aller l’enfiler.
    
    Anaïs suce. Anaïs se fait prendre.
    
    Elle pompe la maîtresse de son mari. Voilà une phrase sans queue ni tête, et pourtant…
    
    Le mari demande à Rosita de se tourner et de lui offrir sa croupe. La bite de Loïc est en forme, elle pousse la rondelle, fore le passage et à quelques centimètres d’elle, Anaïs voit son mari enculer sa maîtresse, maîtresse dont le manche se balance maintenant ...