Le printemps
Datte: 17/08/2019,
Catégories:
fh,
hbi,
couplus,
boitenuit,
amour,
Transexuels
facial,
Oral
fsodo,
hsodo,
échange,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... intentions. Lorsqu’il se rue au plus profond de la grotte, le feulement de sa maîtresse est un véritable cri de plaisir. Valériane entoure les hanches de Loïc avec ses jambes, ses bras enveloppent le cou et voici de duo qui quitte la stabilité de la commode pour une danse qui demande force et adresse à l’homme. Il fait quelques pas et nul doute que sa queue, véritable cheville de chair, découvre des espaces inconnus. Notre espalier de gym sert maintenant d’aide au couple. Ma femme s’est suspendue pendant que l’homme, toujours enveloppé par les cuisses, donne de grands coups de reins pour baiser son équilibriste. Valériane ne cesse de l’encourager. J’ai découvert depuis un moment que son vocabulaire peut être plus que « brutal » et même grossier. Cela lui va bien et quel homme n’aimerait que sa maîtresse lui balance des « Ta bite me laboure… Enfile-moi profond… Plus fort… Encore » ?
Le duo repart. Loïc bloque ma femme contre un mur. La cloison vibre de ses coups. Je suis presque jaloux des baisers échangés, des yeux qui se révulsent, des soupirs, des gémissements, des gestes de tendresse et surtout de la fougue de ma femme qui se livre totalement aux assauts de son amant.
Elle jouit et le fait savoir. Il fait de ses lèvres un bâillon, mais je vois bien que Valériane est au plus haut, que sa jouissance l’emporte et que cet homme qu’elle ne connaît que depuis quelques heures la satisfait pleinement.
Anaïs aussi semble subjuguée. Nous abandonnons les amants à leur ...
... plaisir et retournons dans ma chambre.
Dire que cette nuit a été mémorable. Je pourrais dire oui, mais mémorable pour ma femme. Je ne sais combien de fois nous l’avons entendue crier son plaisir et si celui que je partage avec Anaïs est fort il nous semble bien classique comparé à ce qui se passe de l’autre côté de la cloison.
Sans nous parler, ma maîtresse et moi comprenons que nous devons être vigilants et peut-être encore plus à l’écoute de notre conjoint. Moi je sais que le lien avec ma femme est très fort, déjà vérifié avec nos aventures réciproques, mais ce n’est pas le cas d’Anaïs. Son mari se révèle sous un jour qu’elle ne soupçonnait pas, un amant redoutable, capable de se projeter dans une relation en quelques heures.
Le matin, c’est nous qui sommes les premiers debout. En quelques heures, nous voici déjà comme un vieux couple, même si je me suis efforcé de lui donner beaucoup de plaisir. Nos conjoints arrivent. Ils sont rayonnants. Loïc se précipite vers sa femme et fait assaut de tendresse.
— Bonjour, ma chérie. Tu as passé une bonne nuit ? Moi c’était magique. Quelle chance que tu aies rencontré Valériane pendant ce stage !
Anaïs aussi se fait câline.
— Oui c’est vrai.
Et se tournant vers nous :
— Merci, Valériane ; merci, Pascal.
— Tu as raison, chérie, nous leur devons beaucoup. Je sais qu’un bon repas n’est pas grand-chose, comparé à ce que vous nous avez apporté, mais permettez-moi de vous inviter.
Quelques heures plus tard, nous sommes ...