Au menu ce soir !
Datte: 17/08/2019,
Catégories:
fh,
amour,
volupté,
noculotte,
jeu,
aliments,
Auteur: Mélofée, Source: Revebebe
... tapenade, des tomates cerises, concombres et carottes coupés en fines lamelles, du fromage blanc je suppose et quelques tranches de pain.
Il attrape une olive noire, la place entre ses dents et se rapproche pour me l’offrir généreusement.
— Tu veux bien t’allonger à ma place ?
— Oui Paola, je m’allonge.
Le bellâtre allongé, de ma main gauche je déboutonne ce pantalon qui n’a plus lieu d’être, je devine qu’il est nu, pas d’autres effets à retirer, j’aime les hommes qui ne portent rien ; il aime m’avoir à ses côtés, je le vois dans son regard, ses yeux me sourient et je lui vole un peu de son âme troublée au passage.
Sur son torse à l’aide d’une petite cuiller, j’y laisse un peu de fromage blanc, puis un peu de tapenade sur chaque cuisse.
Une lamelle de carotte lui chatouille le bas du ventre, je prends le chemin du fromage blanc ; j’y suis ! Je l’humidifie et le laisse croquer ; je bifurque sans arrêt pour que tout le haut de son corps soit tartiné de mélange onctueux, je fais de même avec le concombre.
C’est avec une tranche de pain maintenant que je parcours ses cuisses, puis ses jambes, nous croquons tous deux, nous craquons tous deux !
Du bout de ma langue, j’entreprends de commencer par la tapenade, il a les yeux fermés, je me dirige alors vers la partie de son corps que je n’avais pas encore goûté, le goût est délectable, je m’y attarde…
Son ventre est moelleux et tendre, le fromage est encore frais sur ce corps de braise, chaque pli, chaque ...
... creux, chaque grains de beauté est succulent.
— J’ai faim de toi ! Prends ma place, Paola, tu es magique !
Je pris sa place. Il enleva ma jupe, me laissa mes talons et s’accroupit tout près.
Il y a une rangée d’olives qui part de mon cou jusqu’à ma féminité, une noire, une verte, je ne dois pas bouger, je retiens mon souffle pour ne pas en perdre une seule.
Ce coquin me caresse les pieds, m’embrasse les genoux, l’intérieur des cuisses, avec sa langue se profile mon moment de bonheur, c’est un prodige ! Je fais attention à toutes mes olives, je les oublie, une m’a quittée, je ne sais plus, je reprends ma respiration et la bloque, à l’aide de mes bras je resserre mes seins pour que l’une ou l’autre soit sauvée !
— Bien, il en reste quatre !
Le plafond de son salon était recouvert de mosaïque, je venais de m’en apercevoir !
— On passe au plat !
— Avec plaisir !
— Tu m’accompagnes dans la cuisine ?
— Bien sûr.
Imaginez Adam et Ève dans une cuisine, mais je ne vois pas de pommes…
Il me prend par la taille, me soulève et me dépose sur la table sur laquelle une nappe de feuilles de salade découvre mon corps.
— Tu veux bien te coucher sur le ventre ?
Le toucher d’une feuille de salade, c’est doux, c’est croquant, il suffisait que je bouge un peu pour que des bruissements timides jaillissent.
— Tu es magnifique.
— Tu viens, je t’invite dans mon potager secret.
Il se couche sur le côté tout au creux de ma cuisse, me déplace une mèche de cheveux, ...