1. Une ombre au tableau


    Datte: 17/08/2019, Catégories: Hardcore, Mature, Lesbienne Auteur: marika842010, Source: xHamster

    Lorsque je ferme la porte de mon garage, jamais je n’aurais pensé à ce que j’allais vivre ces quelques jours qui vont suivre.
    
    Je suis Irène de mon prénom, Galant, de mon nom de jeune fille, 45 ans, et divorcée depuis 2 ans.
    
    Institutrice, sans autre charge qu’un grand adolescent qui vit entre chez-moi et ma belle-famille près de Lyon, enfin, la famille de mon ex, je n’ai pas eu le cœur de me battre et leur retirer ce droit.
    
    Mon ex est décédé depuis quelques mois, d’une maladie que l’on dit longue, sans préciser laquelle, en fermant les yeux…
    
    On ne s’aimait plus, on ne se détestait pas, on a trouvé mieux, on a partagé les torts, d’un amiable consentement, et on a fait notre route chacun de notre côté.
    
    Pour lui hélas tout s’est arrêté trop vite, et pour moi, j’ai trébuché sur cette nouvelle route, pavée de doutes, triste de son départ, sans vraiment avoir vécu mes rêves, comme les mois qui avaient suivis notre rencontre, il y a 20 ans…
    
    Il était jeune, beau comme un dieu, célibataire par choix, libre, il le disait, surtout à moi, petite fonctionnaire dans cette bourgade du nord de l’Isère, près des hautes montagnes….
    
    Je n’étais pas de là, plutôt du sud… Mais l’amour m’avait poussée à demander cet endroit, on s’était mariés très vite, surtout pour le bébé…
    
    Les parents n’auraient pas accepté de bon gré, une mère célibataire, dans le giron de la famille.
    
    A l’époque cela était mal vu par la hiérarchie, bien que l’on soit assez libres dans le monde de ...
    ... l’enseignement, en général.
    
    Les premières années furent pavées de plaisirs et une entente parfaite, entre ski l’hiver et vacances en camping-car, nous circulions dans toute la France, dès que 3 jours de repos se profilaient…
    
    Le bébé grandissait, nous étions heureux…
    
    Puis les responsabilités, les soucis d’un enfant de plus en plus difficile, qu’il fallait surveiller, et le tracas de nos professions qui nous séparaient parfois.
    
    Il était cadre commercial dans une entreprise nationale et partait fréquemment aux 4 coins de France.
    
    Moi, c’étaient les réunions, les séminaires de travail, j’étais directrice d’établissement, avec un pas dans l’Éducation Nationale…
    
    Bref, j’avais gravi les échelons, sans me battre, calmement, en faisant mon travail, acceptant quelques remplacements, puis prenant en charge des tâches plus valorisantes, dans l’accompagnement et l’intégration des nouveaux fonctionnaires.
    
    De fil en aiguille, notre fils passa à travers les mailles, on découvrit trop tard qu’il avait franchi quelques bornes, conséquence de notre éducation élastique et de nounous incompétentes, choisies en urgences.
    
    Ce fut le début de la fin pour notre mariage, il partit pour la capitale, je respirais…
    
    Mais la maladie le rattrapa et ce sont ses parents qui prirent le relais pour notre fils, quand je ne pouvais pas être à ses côtés. 80 kilomètres me séparaient de lui…
    
    Avec adresse et patience on le remit sur la bonne voie, il était passé très près de tomber aux mains de ...
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