COLLECTION LESBIENNES. Femme pour femme (1/8)
Datte: 16/08/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... le caniveau.
Il y a trop de propriétaires de chiens qui les laissent faire ce qu’ils veulent sur les trottoirs.
En fait, c’est elle qui a trouvé le moyen d’engager la conversation, je me baisse pour caresser la tête du chien.
- Je vois que tu essayes encore de regarder sous ma robe, cela t’a plu tout à l’heure ?
- Vous vous méprenez, j’ai vu sans chercher à voir.
- Tu viens jusque chez moi, j’ai une bouteille de champagne au frais et j’aimerais la partager avec toi.
Elle se tourne et traverse la rue, le toutou suit par obligation, retenu par sa laisse, moi aussi, je la suis comme un gentil toutou.
À quelques mètres, de là nous franchissons un porche.
Je me retrouve dans un jardin d’intérieur très beau et qu’il est impossible de voir de l’extérieur.
- Je suis propriétaire de tout l’immeuble, mais j’habite les cinq pièces du rez-de-chaussée.
Les pièces supérieures sont ouvertes par mon service de nettoyage une fois par an, car vingt-cinq pièces à gérer seraient trop difficile pour moi. Entre. Je m’appelle Marguerite comtesse de la Tour, veuve du comte du même nom.
Et toi comment t’appelles-tu ?
- Viviane de la région parisienne et j’aurai dix-huit ans dans trois jours.
Le vestibule où nous sommes entrées ressemble à une bonbonnière avec des teintes roses.
- Viens, on va coucher Joujou.
Nous franchissons une porte et nous sommes dans une salle à manger.
Une porte à gauche où elle me fait entrer après Joujou.
La pièce est assez ...
... grande et le chien a tout ce qu’il faut pour être bien chez lui.
Une chambre pour chien, aménagée comme une chambre pour enfant, le tout dans des tons bleus.
- Il est chez lui, viens boire cette coupe que je t’ai promise.
Elle me prend la main et m’entraîne dans le salon attenant à la salle.
La première chose que je remarque, c’est le piano à queue qui prend une grande partie de la pièce, un canapé vieux style avec deux fauteuils autour d’une petite table sur laquelle sont posés des livres la complète.
- Ici, c’est le coin où je me repose, assieds-toi dans ce fauteuil, je vais chercher la bouteille et les verres.
Je reviens.
Elle quitte la pièce et pendant un quart d’heure, j’attends son retour.
Je suis sur le point de partir, me demandant ce que je fais là, lorsqu’elle est de retour.
Elle s’est déshabillée et est recouverte d’un peignoir fort bien coupé.
- Excuse-moi, j’ai pris un léger bain, prends les verres dans tes jolies mains pendant que j’ouvre le champagne.
Elle fait sauter le bouchon et une grande quantité de champagne gicle sur le tapis, certainement persan.
- Cela porte-bonheur, nous allons bien nous entendre.
Elle me domine et le mouvement qu’elle fait lorsque le champagne jaillit échancre son vêtement.
Dans l’entrebâillement un de ses seins m’apparaît.
Petit et rond avec une pointe comme une fraise, avec l’envie de le croquer malgré notre différence d’âge.
Elle ne fait rien pour se rajuster, me regarde avec des yeux ...