Etonnante Julie (1)
Datte: 16/08/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: hermes25111, Source: Xstory
... ainsi le champ libre pour un petit massage. C’est le premier vrai contact que j’allais avoir avec sa peau. Je commençai à la malaxer doucement. Elle me dit qu’elle appréciait le moment. Mes mouvements se sont faits plus amples, se sont parfois transformés en caresses. Mes mains ne se limitaient plus à ses épaules, elles descendaient maintenant un peu plus bas, sur sa nuque, et la naissance de son poitrail. Je l’ai massée 10 minutes de cette manière. Ma position, debout derrière elle, m’avait permis d’avoir une vue sur son décolleté. Ce contact privilégié avait achevé de réveiller une excitation en moi. Elle me remercia, et nous recommençâmes à travailler.
Le mois de juin était pourvu d’une météo radieuse. Chaque midi, Julie et moi sortions dans un parc adjacent à l’immeuble pour y déjeuner. Un ces jours-là, nous étions assis dans l’herbe, alors que nous avions fini de manger, nous étions silencieux. Assis assez proches l’un de l’autre, nous étions dans nos pensées. J’avais pris un brin d’herbe entre mes doigts, nous le regardions tous les deux. Machinalement, j’ai approché ma tête de la tienne, nos fronts se sont frôlés, nous avons redressé nos têtes, et nos lèvres se sont touchées. J’ai fermé mes yeux pour profiter pleinement de ce baiser léger. Mon cœur battait à 100 à l’heure. Nos visages s’écartèrent, j’ouvris mes yeux, tu fis de même. Nous nous échangeâmes un sourire. Je me suis alors avancé vers toi pour t’embrasser, intensément, ma langue trouvant la tienne. Tu ...
... t’es allongée dans l’herbe, nous avons continué à nous embrasser de longues minutes.
Sur le chemin du retour au travail, nous nous tenions par la main. J’étais heureux, le cœur léger. Nous n’avons rien laissé paraître de notre rapprochement à nos collègues. Inutile de préciser que l’après-midi était interminable.
Nous avons quitté le travail assez tôt ce jour-là. Je ne suis pas rentré chez moi, elle m’avait invité à passer chez elle. Son appartement était bien à cinq minutes à pied de notre lieu de travail. A peine entrés dans son appartement, nous asseyons sur son canapé pour nous embrasser. J’entrepris de lui caresser la poitrine, elle retira son T-shirt et son soutien.
Elle avait une belle poitrine en forme de poire, des auréoles rose pâle assez large, avec à leur centre de petits tétons. Je m’empressai d’aller les titiller avec ma langue. Pendant ce temps, elle remonta mon T-shirt pour me le retirer. Les pantalons suivirent rapidement, seuls nos sexes étaient encore cachés. J’étais allongé sur elle, nous nous embrassions. Mon désir était immense, mon pénis au garde à vous appuyait sur sa vulve. A travers le tissu, je sentais une grande chaleur émaner de son entrejambe. Alors que je commençai à tirer sur sa culotte, elle m’interrompit :
— Attends, s’il te plaît ; je suis timide, je préfère que l’on fasse ça dans le noir.
— Si tu veux... Tu ne dois pas avoir honte, je ne te jugerai pas.
— Merci. Mais je préfère. Suis-moi, allons dans ma chambre.
Elle se ...