1. Le Reflet


    Datte: 15/08/2019, Catégories: f, fh, ff, couple, nympho, grossexe, bizarre, cérébral, miroir, Oral fgode, fsodo, jouet, fantastiqu, fantastiq, Auteur: Rain, Source: Revebebe

    ... jusqu’aux genoux. À l’aide de ses doigts, formant une fourche, elle écarte ses lèvres génitales, exposant sa vulve avec indécence. Dans le miroir, le gland de l’inconnu déborde de l’élastique du boxer.
    
    De multiples fantasmes se bousculent et défilent dans sa tête. Du bout des doigts, Sandra lisse ses lèvres humides qu’elle finit par écarter de la même manière que le modèle. La main entre les cuisses, elle se masturbe et ose même pénétrer une phalange dans sa fente rose. Haletante, flattant sa poitrine avec sa main libre, elle prend un malin plaisir à agacer ses mamelons. Le doigt dans sa chatte s’insinue plus profondément et entame de lents va-et-vient. Prise dans une spirale d’images torrides, Sandra gémit quand son doigt la pénètre de toute sa longueur et ressort de son intimité pour débusquer le clitoris déjà gorgé de sang.
    
    À la place de son doigt, elle imagine le sexe de l’inconnu qui tente de se frayer un chemin en elle. Le doigt est rejoint par un deuxième, puis un troisième, qui la propulsent dans une jouissance courte en durée mais d’une intensité rarement égalée.
    
    Il est temps de prendre une bonne douche, se dit-elle en se levant, l’esprit encore embrumé par quelques coquineries imaginaires.
    
    La douche lui fait oublier cet étrange épisode de masturbation et, après avoir avalé un dernier café, elle se rend à son travail.
    
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    La journée est longue, les clients pénibles, et le patron exécrable. À 19 h, elle quitte son job et décide de ne pas rentrer ...
    ... tout de suite. Elle a envie de flâner dans les rues, bien que la majorité des magasins soient fermés à cette heure-là.
    
    Elle se promène, sans but précis, se contentant de se dégourdir les jambes et d’observer les passants qui croisent son chemin. À chaque fois qu’elle aperçoit un homme séduisant, elle ne peut s’empêcher de l’imaginer, le caleçon aux chevilles, en train de se masturber. Ces idées saugrenues la troublent au début, mais, rapidement, elle finit par les trouver drôles et se met à fantasmer sur les adonis qu’elle affuble le plus souvent d’attributs généreux.
    
    Elle sort son portable de son sac à main, pour voir l’heure qu’il est : 20 h 30. Le téléphone lui indique qu’elle a reçu trois nouveaux messages de son compagnon, Étienne.
    
    Sans les écouter, elle le rappelle. La sonnerie retentit deux fois avant qu’il ne décroche. :
    
    — Allô, dit-il d’une voix neutre.
    — Salut, c’est moi chéri. Je suis désolée de pas t’avoir prévenu, mais j’ai été prendre un pot avec Isa et je n’ai pas vu passer le temps.
    
    Un bel homme passe sur le trottoir d’en face et Sandra l’imagine en train de s’astiquer énergiquement. Son sexe est épais et…
    
    — Tu aurais quand même pu me prévenir, râle Étienne, la tirant de sa rêverie.
    — Oui, je m’excuse encore. J’ai pas vu le temps passer. Je suis sur la route de la gare. À tout à l’heure.
    — À toute.
    
    En raccrochant, elle est légèrement perturbée par le mensonge qu’elle lui a servi. Elle aurait très bien pu lui dire qu’elle se baladait mais, ...
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