COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat, la suite (5/7)
Datte: 15/08/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... la compassion pour Olga, mais la manière dont elle m’a tenu les mains pendant que son julot essayait de me violer, l’a ramenée à son niveau de pute, salope, pouffiasse.
- Attendez-moi là, je vais aller la récupérer et tu iras chercher Brutus.
- Si elle reste là, je peux la taquiner un peu ?
- Lucien, Madame fait ce qu’elle veut, tu sais que je ne suis pas jaloux.
Demande gentiment, j’en ai pour une heure et nous irons chercher Brutus.
Entre son chien et moi, lequel des deux préfère-t-il ?
Il vaut mieux que j’évite de me poser des questions, ne m’a-t-il pas pris comme une reine ce soir !
Je me revois encore après avoir joui et l’intrusion de Lucien dans la pièce quand ma main lui caressait sa poitrine et sa toison si drue et pourtant si douce.
C’est normal c’est un homme virile pas comme Sylvain qui a deux poils qui se battent en duel.
Il ne me repoussait pas, mieux même sa bouche se rapprochait de la mienne.
Ça c’est le signe que cet homme m’aime.
Quand je compare avec Sylvain, la dernière fois qu’il m’a fait l’amour, pardon qu’il m’a baisée, car c’était sans romantisme, il a déchargé et m’a montré son cul.
Je pense comme une charretière, mais quand je vois dans ma tête mon fumier de mari entrer vers la chambre d’Olga, comment penser avec des mots de ceux que j’employais dans mon ancienne vie.
- T’as entendu, ton mec Muller, je le connais depuis qu’il est tombé dans la cloche.
Il est puissant mais a le cœur sur la main, viens avec ...
... moi.
Ma vie ne m’appartient plus, j’ai été baisée comme une reine cette nuit, mais ma nouvelle nature a besoin de dépassement de moi.
Je le suis.
Quand je disais au début de cette saison que j’allais devenir une femme abjecte.
Il a trouvé domicile dans une pièce qui devait être une salle où les directeurs surveillaient informatiquement les salles de jeux.
Plus d’écran mais des fils partout.
Un tas de fils dénudés sont roulés dans un coin.
- Le cuivre de ces fils que je dénude, je le vends à un récupérateur de métaux qui se trouve près de la fourrière.
Je vais les livrer rapidement.
Son lit, plutôt sa paillasse, est plus près de celle sur laquelle je me suis fait sauter par Muller dans notre premier squat que de son lit en fer dans la pièce d’à coté.
Quand je disais que j’allais tomber dans l’ignoble, il s’assoit en ouvrant son pantalon, je me baisse et je le prends en main.
Le cul, le cul, mon cerveau veut du cul, surtout depuis que j’ai vu mon mari me tromper.
Quand j’approche ma bouche, je suis au comble de l’ignominie.
L’hygiène de cet homme d’une cinquantaine d’années est loin d’être irréprochable.
Depuis combien de temps son sexe n'a-t-il pas vu la moindre goutte d’eau, qui plus est le jet d’une douche !
Pourtant en plus de la toucher, je la prends dans ma bouche, elle se développe, c’est la même que celle de Sylvain.
Heureusement car je n’aurais pas supporté qu’il ressemble à Muller.
Là j’aurais eu l’impression de le ...