La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1112)
Datte: 15/08/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... de Ses soumises ou esclaves. En temps normal, il aurait fait entendre sa voix impérieuse et en aurait imposé de Sa stature. Les domestiques et les autres esclaves du Château seraient assurément venus lui prêter mains fortes pour retenir ses deux furies et les empêcher de s'étriper. Malheureusement tous les habitants de la Demeure n'étaient plus depuis des décennies, et bien que son esprit fantomatique à Lui demeurât dans Ses lieux qu'il avait tant aimés, les leurs s'étaient envolés vers un nouveau monde par-delà les dimensions connue en ce jour... . Certes il aurait pu se montrer comme il avait fait auparavant pour faire s'enfuir de peur Sandra, seulement il ne voulait briser cette relation mystérieuse qu'il entretenait avec Carole. Et puis jouer les Poltergeist, c'était peut-être amusant au début, mais haut combien fatigant à la longue. Sans parler que pour des raisons techniques attraites au monde spirituel, il était bien plus difficile et pénible de se rendre visible et de se faire entendre qu'autre chose. Cela lui coûtait bien trop énormément de forces... ou d'énergie fantomatique si vous préférez. Voilà pourquoi il se contenta simplement d’assommer Sandra... tout comme Carole bien trop énervé. Certes ce n'était pas très style noble bourgeois gentil homme, mais mieux valait cela que de laisser ces deux lionnes s’entretuer l'une avec l'autre. Et ce, même si la vue de deux femmes luttant ensemble habillée ou nue était si plaisante à voir pour certain, qu'on en avait ...
... fait des spectacles…
La moitié de la nuit s'était écoulée, quand Sandra reprit ses esprits, sa première impression fut celle du froid. Elle essaya de bouger, pas moyen, elle n'y arrivait pas. Elle sentait ses mains comme lier au-dessus de sa tête. Ses jambes, idem comme si elles étaient rivées aux murs. Elle voulut appeler à l'aide, mais quelque chose dans sa bouche l'en empêchait, les mots ne sortaient pas, seules ses lèvres bougeaient. Ce n'est alors, comme dans un cauchemar, et malgré l’obscurité régnante, qu'elle réalisa qu'elle était toute nue, bâillonner, liée à un mur, les chevilles menottées de cuir, les poignets au-dessus de la tête, les fesses calées contre la pierre froide derrière elle. Que s'était-il passé ? Où était-elle ? Pourquoi se retrouvait-elle ainsi prisonnière ?
- Carole ! Carole, cette petite salope, c'est elle qui m'a fait ça !, pensa Sandra, tout en cherchant à se libérer.
Mais elle eut beau gigoter dans tous les sens en tirant de toutes ses forces sur ses entraves, elle n'arrivait qu'à blesser sa croupe sur la pierre rugueuse et à se blesser les poignets et chevilles. Ce n'est qu'au bout de longue minutes, seulement après s'être calmée et rendue compte qu'elle ne saurait se libérer, qu'elle se remémora sa dispute avec Carole et puis de... de l'étrange apparition soudaine de ce brouillard venu de nul part qui avait empli en un instant toute la pièce au niveau des genoux. Elle s'était crue subitement sur une autre planète ou dans l'une de ses ...