COLLECTION BLACK. La queue noire. (3/3)
Datte: 14/08/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... cou.
• Viens, suis-moi, je n’ai pas eu le temps de te prévenir, mon père est dans sa chambre en galante compagnie, il a une maîtresse depuis plus de vingt ans, tout petit déjà il lui est arrivé de venir, je l’entendais jouir de ce côté, elle est un peu comme toi très expressive.
• Je dois m’en aller dommage !
• Non, pas question, j’ai trop envie de toi, viens, je vais nous mettre des bâillons, ils ne seront pas informés que nous baisons, non loin d’eux.
De notre côté, à part des grincements de lit que nous contournons en baisant sur la moquette, moi en levrette, position qu’il affectionne, lui derrière moi, tout se passe sans problème quand je sens qu’il veut me sodomiser.
Le bâillon m’empêche, de lui dire d’arrêter et en poussant un cri étouffé, je sens que son gland est passé.
Dans l’autre chambre, comme il me l’a dit d’une façon un peu sourde à cause du couloir qui nous sépare, la maîtresse de Kombo père d’Amadou prend du bon temps.
Une fois qu’il me libère, je m’écroule, le cul cassé, mais satisfait de l’avoir fait, malgré la grosseur de la queue de mon amant, j’ai fini par avoir un début de plaisirs, nul doute que dans les semaines prochaines, nous allons recommencer et que j’apprécierais de plus en plus.
• Merci, ma petite biche de m’avoir permis de te prendre par ta rosette, j’en rêvais, la situation m’a fait sauter le pas, dans la salle de bains, dans l’armoire au-dessus du lavabo, il y a un tube neuf de pommade, va.
Je me lève et j’oublie ...
... la présence du père et de sa maîtresse, je suis restée nue, je vais pour ouvrir la porte de la salle d’eau.
• Ciel ma belle-fille !
• Ciel ma belle-mère !
Nous sommes abasourdis, une bombe aurait sauté dans le quartier, je n’aurais pas été plus pétrifié qu’elle ne l’est elle-même, surtout aussi nue l’une que l’autre.
Est-ce l’âge qui la fait réagir la première.
• Restons calme Odile, tu es la maîtresse d’Amadou !
• Dans notre situation, il serait difficile de te dire que nous venons d’enfiler des perles.
• Comme moi, Kombo, son père est mon amant, il y a longtemps que tu trompes Robert !
• Amadou m’a dit que son père avait une maîtresse depuis plus de vingt ans, qu’elle était de passage et s’envoyait en l’air dans sa chambre au bout du couloir.
Je t’ai entendu jouir, mais dis-moi, je t’ai bien vu partir de chez-nous en taxi.
• Cela fait vingt ans, que je fais faire un tour dans Paris à un taxi que je paye et qui me dépose devant la petite porte en bas et que je rejoins mon fabuleux amant.
• Merci Josette, pour le fabuleux amant un peu vieillissant tout de même.
Cet à ce moment que je vois Kombo pour la première fois, aussi massif que son fils et la verge aussi importante que celle d’Amadou.
Ma belle-mère se déplace, la prend dans sa main et se blottit contre lui.
• Tu ne m’as pas répondu, depuis combien de temps es-tu l’amant d’Amadou ?
Je sens que l’on me prend par les épaules, je me blottis, moi aussi, dans les bras de mon amant, ...