Le secret de Charlotte (5)
Datte: 14/08/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Loco2016, Source: Xstory
... début, mais non, cela ne me pose pas de problème. Je suis contente d’avoir insisté pour les rencontrer, et j’ai hâte que nous prévoyions une autre sortie tous ensemble.
***
Nos invités viennent de nous quitter, il est temps pour nous d’aller nous coucher. Il est tard, nous ferons le rangement et la vaisselle demain. Nous avons un rituel avant de nous mettre au lit : Charlotte ne peut pas dormir sans être attachée. Heureusement, je suis devenu un maître du cordage. J’enroule de la corde pour lui presser les seins puis je lui lie les bras et les poignets dans le dos que je relie aux chevilles. Même si elle le voulait, elle ne pourrait pas se relever pour aller pisser. J’éteins la lumière pour nous endormir. J’adore la façon qu’elle a de se tortiller pour venir se blottir contre moi. Je la prends dans mes bras et lui fais un câlin. Je l’aime à en mourir.
Le matin à mon réveil, je la découvre en train de me faire une pipe. J’imagine le temps qu’il lui a fallu pour se mettre dans cette position. Voir sa petite femme, incapable de se servir de ses membres, en train de vous pomper tellement elle est en manque est un spectacle qui a de quoi vous mettre de bonne humeur. Elle me gobe comme elle peut sans pouvoir utiliser ses mains. Elle me lèche lorsque mon sexe s’échappe de sa bouche. Elle a l’air désespérée, comme une prisonnière qui n’a pas mangé depuis trois jours cherchant à engloutir son repas dans une gamelle.
— Maître... j’ai envie, ronronne-t-elle.
J’adore ...
... ça, sauf qu’en tant que son dominant, je m’interdis de trop le lui montrer.
— Comment oses-tu me réveiller ?! Je faisais un merveilleux rêve.
— Je suis désolée maître, mais j’avais tellement envie...
— Je vais devoir te punir pour ton insolence.
— Oui, maître, punissez-moi...
Je lui libère les jambes et la plaque ventre contre le matelas :
— Je vais t’enculer, salope ! fais-je, mon sexe en main.
— Oui ! Oui !
Je m’enfonce dans son anus et la pilonne violemment. Elle crie. Elle peut se le permettre, nous avons insonorisé la pièce juste pour cette raison. Je la tire par ses liens et par les cheveux. Elle est totalement impuissante, elle ne peut ni se débattre ni m’échapper. Elle est ma chose, mon esclave. Et c’est exactement ça qui la fait jouir aussi vite.
— On... ne... réveille... pas... son... maître... même... avec... une... pipe... fais-je en la démontant.
— Aaaah ! Désolée maître ! Désolée ! pleure-t-elle de bonheur.
Bien sûr, elle ne l’est pas.
Je ne la traite plus comme un être humain, mais comme un sac à foutre. Je me laisse aller à mes instincts les plus bestiaux juste pour me faire du bien. Je ne me soucie aucunement de son plaisir, de toute façon, elle enchaîne les orgasmes. Je ne me savais pas capable d’être aussi salaud avant de la connaître ; bordel, qu’est-ce que c’est bon ! C’est sa faute, elle m’excite tellement. Je l’use jusqu’à ce que je me fasse éjaculer dans son cul. Je me vide à l’en faire déborder de sperme. Repu, je ...