Ses Expériences 02
Datte: 14/08/2019,
Catégories:
Épouses affectueuses,
Auteur: bygoldcaesar, Source: Literotica
... le fond de sa chatte toute douce et ses lèvres touchèrent le tissu du bleu de travail. Elle montait réellement ce type et elle le sentait distendre sa chatte, sentait ce gros engin remplir le moindre orifice de son vagin, le gland poussant devant lui, aveugle, soucieux de son seul plaisir. Elle laissa sa chatte se faire à cette nouvelle queue, puis chevaucha Robert, construisant son plaisir à chaque tressautement. Elle se complaisait dans cette saleté, dans cette offrande de son corps au plaisir de l'ouvrier, dans cet abandon au plaisir bestial.
L'ouvrier n'en revenait pas de la tournure des événements. Il pensait passer une journée de merde avec cette pimbêche sur le dos et voilà maintenant qu'il poussait sa bite loin en elle, que les lèvres de sa chatte absorbaient sa queue. Il s'amusait à la porter sous les fesses, regardant son gland sortir presque de la chatte, les lèvres s'entrouvrir sur un bruit mouillé et venir caresser jusqu'au méat, puis se décoller pour aspirer sa bite.
A ce moment, ma femme voulut aller plus loin dans l'humiliation, elle retira, à regrets, la bite d'elle et s'allongea dans la poussière, prenant Robert par la queue pour qu'il revienne en elle. Elle sentait les picotements de la terre sur ses fesses et son dos, redoutant la présence d'araignées ou de cloportes qui pourraient courir sur elle. Ses pieds nus calés sur le sol, elle se concentra sur le va et vient rythmé de Robert. A chaque fois qu'il entrait en elle, il allait le plus loin ...
... possible, jusqu'à toucher le périnée et à chaque fois qu'il revenait, il sortait presque sa queue d'elle. Elle sentait toute la longueur de ce sexe à chaque pénétration, avec ses veines saillantes et l'énorme renflement du gland mauve. Elle visualisait les frottements de ce gland rustique sur les muqueuses délicates de son vagin et rêvait du sperme épais qui en sortirait pour l'inonder.
Elle se coucha alors face contre terre, ses seins enfouis dans la boue de la sueur de Robert, ses cuisses et sa chatte en communion avec la poussière et Robert vint s'allonger sur elle, glissant sa grosse bite entre ses fesses vers le vagin. Elle sentait son clitoris frotter la boue, et agrippa la main de son amant pour qu'il l'étale sur son petit bouton. Elle supportait tout le poids de l'homme sur ses reins, le tissu du vêtement de travail contre ses fesses frottait avec rudesse la raie de son cul. Il l'écrasait réellement, grognant à chaque pénétration. Les couilles constellées de poils noirs étaient sorties du bleu et claquaient maintenant sur le clitoris et sur le sol, traçant des sillons avec les poils dans la poussière. Elle se fit jouir avec cette bite en elle.
Elle reprit Robert en elle face à face, pour voir son visage se contracter au moment du plaisir. Elle voulait qu'il la pilonne, qu'il l'utilise comme instrument de sa jouissance et, pour finir, qu'il lui jute dessus, sur ses seins ou son cul et qu'il l'abandonne comme ça, toute seule, dans la poussière, comme une bête.
Robert ...