Ma chérie découvre d'autres plaisirs
Datte: 14/08/2019,
Catégories:
fhh,
hplusag,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
ffontaine,
Oral
pénétratio,
fsodo,
glaçon,
bougie,
init,
initfh,
couple+h,
cocucont,
Auteur: Nyssia63, Source: Revebebe
... son manteau afin de voir les seins, la prit par la taille et lui donna un tendre baiser. Élise était-elle rassurée ? Déjà excitée ?
Il lui retira son manteau et la fit se retourner. Il caressa ses fesses rebondies puis la plaqua contre lui, les mains sur les seins et l’embrassa longuement et tendrement dans le cou en la mordillant. Élise fermait les yeux, baissait la tête, se laissait faire.
Notre hôte nous fit asseoir. Sur la table, les verres, les toasts et le champagne étaient déjà préparés. La lumière tamisée, une musique douce, un bâton d’encens se consumait en diffusant dans la pièce une odeur très agréable.
Nous avons bu quelques verres en discutant un peu de chacun de nous afin de faire connaissance. Élise était assise près de lui, ses fesses nues sur le canapé et je remarquai qu’elle respectait parfaitement la consigne : ses cuisses ne se touchaient pas. Marc l’avait noté aussi car il jetait parfois de brefs regards dans cette direction.
Que pensait-il à ce moment ?
Marc la fit lever, la prit dans ses bras et l’assit sur la lourde table en bois sur laquelle il déroula une couverture moelleuse. Élise s’y coucha sur le dos et son trouble lui fit oublier la consigne : ses jambes étaient serrées mais Marc y remédia en les ouvrant largement de sorte que les pieds d’Élise dépassaient de chacun des bords de la table.
Pendant ce temps, les deux hommes continuaient à boire un verre et, tout en discutant, caressaient et embrassaient par intermittence ce joli ...
... corps ainsi offert.
Au bout d’un moment, ayant sans doute jugé que sa reine-objet était suffisamment détendue, Marc lui plaça un gros coussin sous les fesses afin de bien lui remonter le bassin. Ainsi soulevée, il lui était impossible de laisser ses jambes tendues. Elle était obligée de les replier en posant les pieds de chaque côté du coussin. Marc prit un bol de glaçons et le délicieux supplice d’Élise commença : il lui caressa lentement la vulve avec l’objet glacé. Elle n’avait jusque-là manifesté aucune émotion mais maintenant, la sensation était trop forte : elle ne put s’empêcher de pousser de petits cris.
Je lui tenais fermement les genoux repliés sur sa poitrine afin qu’elle ne put ni se dérober au glaçon en bougeant le bassin, ni nous cacher aucun détail de son supplice : Marc n’épargnait évidemment pas le clitoris et nous voyions l’eau fondue couler sur les lèvres encore fermées, remplir au-dessous le petit trou rose (lui aussi bien fermé !) puis, après avoir mouillé toute la raie des fesses, s’épandre sur le coussin.
Au moyen d’un nouveau glaçon, Marc lui ouvrit les lèvres et caressa l’intérieur de la vulve sans pour autant enfoncer le glaçon dans le vagin, ce qui pourrait causer une brûlure.
Élise se tortillait et poussait de petits cris. Je l’embrassai tendrement.
Lorsque son minou fut bien refroidi, Marc y posa sa langue chaude. Le contraste procure un effet saisissant : Élise criait maintenant, mais bien de plaisir !
Marc m’avait prévenu : il ...