1. Correspondances


    Datte: 09/03/2018, Catégories: fh, groscul, poilu(e)s, odeurs, 69, pénétratio, lettre, Auteur: Triacanthos, Source: Revebebe

    Chère Catherine,
    
    J’ai rêvé de toi. J’ai rêvé de toi, car ton sourire, ta bouche, tes seins ronds et ton cul énorme me font bander chaque fois que j’y pense, chaque fois que je te vois. Quand nous nous rencontrons par hasard dans les couloirs, je suis rapidement obligé de m’arrêter de marcher : à cause d’une érection réflexe, immédiate et incontrôlable. Je me penche un peu pour dissimuler la grosseur, je serre les fesses et je passe rapidement sans profiter de ta présence après avoir lancé un vague « bonjour » accompagné d’un sourire lamentable.
    
    Il m’est arrivé, trop rarement, d’être assis à côté de toi. J’ai profité de ces occasions pour respirer ton odeur et cela n’a pas diminué les effets de ta féminité sur mon désir. Au contraire.
    
    Dans mon rêve, nous marchons tous deux dans un couloir faiblement éclairé bordé de portes sans numéro, ni signe d’identification particulier. Tu t’arrêtes devant l’une de ces portes, tu l’ouvres, me prends la main, nous entrons et la porte se referme seule avec un claquement. Je suis seul avec toi et, sans réfléchir, je te prends dans mes bras, je presse ma bouche contre la tienne. Ta langue s’enroule autour de la mienne dans un baiser où chacun cherche à pénétrer l’autre. Nos salives se mélangent et nous ne séparons nos bouches que pour mieux les ressouder.
    
    Sans que je réalise trop comment, je suis torse nu, tes mains courent sur mon dos. Tu défais ma ceinture et je sens que tu agrippes mes fesses. Tu te presses contre moi, tu ...
    ... t’éloignes, mon pantalon tombe sur mes chevilles, tu baisses mon caleçon et, avec une grande douceur, tu caresses mes couilles, ma verge et mon gland. C’en est trop, je vais décorer le plafond et la moquette. Juste avant de gicler, je me sépare de toi, je finis de me débarrasser de mes vêtements et je passe derrière toi.
    
    Je t’enserre dans mes bras, les mains sur tes seins. Suivant ton exemple, mes caresses sont légères, attentives. J’embrasse ton cou, ta nuque, tes cheveux. Tu ne portes qu’un chemisier facile à enlever. Ton soutien-gorge le rejoint sur la moquette et mes deux mains en coupe soupèsent tes seins lourds.
    
    Tes seins ! J’en avais rêvé bien des fois. Et ils étaient là dans mon rêve avec une netteté parfaite. Je te refais face, je les caresse le plus légèrement possible, de ton cou vers les mamelons, je les resserre doucement, puis je les écarte, je les soulève et les lèche. Je prends tes tétons entre mes lèvres.
    
    Je tombe enfin à genoux devant toi. Ma bouche à hauteur de ton ventre, avec ma langue, je titille ton nombril. Mes mains courent sur ta jupe. Un bouton, une petite fermeture éclair et elle est à tes pieds. Un adorable slip noir dissimule ton sexe, mais laisse deviner ta toison encore plus sombre que la dentelle. Toujours à genoux, je te fais tourner et m’apparaît ton fessier énorme. J’enlève enfin ce dernier soupçon de nylon et je découvre les globes de tes fesses blanches, rondes, parfaites, séparées par une fente sombre qui donne le vertige.
    
    Je ...
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