1. Mon dépucelage


    Datte: 13/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Jolasuce, Source: Hds

    Après avoir évoqué mes ballades sexuelles avec les hommes, je veux aussi partager mes expériences sexuelles avec les femmes.
    
    Après les séances touche pipi enfantines, ma vie sexuelle s’est d’abord réduite à une exploration de mes zones érogènes en solitaire qui se terminaient en masturbation. Je me suis arrêté de sucer mon pouce vers 12 ans, et je pense que j’ai reporté ma recherche du plaisir sur mon pénis par de fréquentes masturbations, pour ne pas dire quotidiennes le soir dans mon lit.
    
    J’éprouvais une crainte vis-à-vis du sexe opposé, ne sachant pas comment fonctionnait la sexualité, aucune information nous a été donnée en milieu scolaire et pas même en milieu familial. Pour moi, l’école du sexe devait passer par les films érotiques forts rares à l’époque, la k7 vidéo n’existant pas. J’avais repéré, dans une rue discrète, une salle pour films érotiques (et non pornographique) car on ne voyait pas de sexe d’homme en érection et encore moins en train de pénétrer le sexe féminin. Il y avait des corps nus qui s’enlaçaient. Je suis passé souvent devant ce cinéma mais je n’avais pas le courage de franchir le pas. Un soir, la rue étant déserte, je me suis présenté au guichet, j’ai acheté un billet et une ouvreuse m’a placé. Je n’ai pas le souvenir d’avoir vu des spectateurs s’adonner dans la salle à des jeux sexuels. Mais j’étais vraiment puceau dans tous les sens du terme. Avant le film, il y a eu toute une présentation pour évoquer les maladies sexuelles, très bon ...
    ... pour réfréner mon audace.
    
    Mais enhardi par ma témérité d’avoir franchi un cinéma sex, j’ai poursuivi ma ballade nocturne en direction des ruelles fréquentées par des prostituées. J’ai arpenté une de ces rues, observant ces dames qui faisaient le pied de grue ainsi que le trottoir. Elles m’invitaient d’une œillade ou bien par cette phrase : « Tu montes chéri ». Le verbe possédait ici le double sens, monter l’escalier car la chambre se trouvait sous les toits et monter la donzelle, moyennant finances. J’ai progressé dans mon audace, puisqu’il j’ai eu le courage de demander : « Combien ? » sans pour autant conclure, je voulais vraiment choisir un type de femme qui me convienne et surtout pas une qui m’humilie. Je ne pourrai pas cacher longtemps mon état de puceau face à ces professionnelles du sexe. Finalement, je me suis approché d’une dame qui semblait correspondre à mes goûts et qui semblait assez sympathique. Je lui ai demandé combien, j’avoue que c’est si loin que je ne me souviens plus du tarif officiel que toutes pratiquaient. Je n’ai même pas demandé à quelles prestations correspondait ce tarif. Je n’ai pas le souvenir que la pipe était incluse dans ce forfait. Une simple baise point barre !
    
    Le contrat conclu, je ai suivi ma future initiatrice du sexe dans les escaliers qui devaient me conduire au septième ciel, mais en fait je ne suis arrivé qu’au quatrième étage. Une petite chambre de bonne, basse de plafond. Elle m’a invité à me déshabiller, moi, je l’avais déjà ...
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