Miroir déformant (3)
Datte: 13/08/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: Mir, Source: Xstory
... bas, se mouille à l’entrée de mon sexe, repart, revient, ainsi jusqu’à être trempé de moi). Hum oui très bonne, tu vas voir, tu vas aimer que je te protège ainsi.
Mon souffle court indique mon attente. Son gland revient sur moi, se pose... J’espère. Mon corps palpite de désir et réclame la pénétration. Il appuie légèrement. J’attends, tentant de retenir mon bassin qui veut aller à sa rencontre. Sa main droite se déplace sur mon téton, ses doigts le saisissent et l’étirent délicatement. La tension sur mon sein augmente, il tire vraiment. Sa queue ne bouge pas.
— S’il te plaît...
— Tu veux ?
— S’il te plaît...
En bas, il y a longtemps qu’il la pénètre (quelle chance), en ouvrant les yeux je les vois. Je vois le gode dépassant de ses fesses à elle, je le vois lui s’activant dans son cul, la besognant rigoureusement, l’enculant méthodiquement. Elle halète et hanane régulièrement, yeux fermés. Il a glissé une main entre ses cuisses et la masturbe en même temps. Il lui dit qu’il l’encule. Elle lui répond qu’elle aime ça. Il lui dit qu’il va la pilonner. Elle répond : oui. Qu’il va lui éclater le cul. Oui. La défoncer jusqu’à ce qu’il jouisse – oui – se vide de son foutre en elle – oui – sa queue la transperçant. Oui. Elle veut, tout.
— S’il te plaît, je veux...
Une douleur me transperce le sein lorsqu’il tire plus fort le téton, je mords mes lèvres et... serrant instinctivement l’anus sous la douleur, je sens qu’il a profité de cet instant pour entrer en ...
... moi. Son gland, lubrifié par mon plaisir impatient, me pénètre. Je ne bouge plus.
— Oh c’est bon dans ton cul... encore mieux que ta chatte et ta bouche... Tu vas voir, je vais jouir fort, tu as envie que je jouisse en toi ?
— Oui.
— Dis-le.
— J’ai envie que tu jouisses dans mon cul, que tu me sodomises doucement jusqu’à ce que ta queue m’inonde de plaisir, je veux te sentir comme ça...
Il s’enfonce un peu plus. La moitié de sa queue. Il me dilate, je m’ouvre sous lui. Bon, oui, très bon. Pas assez. Encore. Toute sa queue en moi, par pitié. En se servant dans mon sexe, il lubrifie ce qu’il reste de pénis à enfiler, puis il pousse dans un bref halètement.
Enfile-moi jusqu’au bout, tu m’as dit que j’étais bonne, bonne pour toi, prends-moi pour toi, prends-toi en moi, encule-moi fort.
La force de sa poussée m’écrase, je m’affaisse sur le ventre en gémissant, sa main droite toujours sur mon sein.
— Ma protection est là pour toi... sens-la bien... vas-y sens-là, hein, tu la sens ? Tu la sens ? Vas-y dis-moi que tu la sens !
Sa queue est énorme en moi alors qu’il s’immobilise, ses testicules collés à moi. Il me recouvre entièrement, ses jambes maintiennent les miennes serrées : mon trou devient plus étroit, ressentant plus vivement la sodomie. Ses mains agrippent mes poignets, son torse sur mon dos m’interdit tout mouvement. Il commence à bouger, lentement, se retire à peine pour revenir me pénétrer immédiatement. Ce léger mouvement me fait gémir ; il fait ...