1. Le goût des hommes


    Datte: 13/08/2019, Catégories: hh, hépilé, vacances, piscine, campagne, hsoumis, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, facial, Oral 69, hdanus, hsodo, fouetfesse, init, confession, inithh, Gay hsoumisah, Auteur: Paradishommes, Source: Revebebe

    ... mater.
    
    J’argumente mon nettoyage par un vocabulaire bien hard : « Ton jus est délicieux, j’adore ton foutre sur ma langue. »
    
    Mais la plupart du temps, le pompé prend sa queue en main et se branle dans ma bouche. Avec son autre main, bien souvent il veut appuyer derrière ma tête comme pour me limer en bouche en profondeur ; pas la peine, car bien souvent je fais une gorge profonde, et avec mes lèvres je resserre la base de sa tige, ce qui a pour effet d’accentuer sa bandaison (mais j’ai aussi d’autres variantes). Un hétéro qui se fait souvent pomper aime comme finalité qu’on le suce à fond, c’est-à-dire lorsqu’on ressent les premiers soubresauts du sexe en bouche, pour ma part je retire la main de la queue de mon amant, je sors sa tige de ma bouche que je garde grande ouverte, et devant son sexe tendu qui tressaille j’attends à quelques centimètres de son gland et je contemple les derniers soubresauts avant de recevoir giclée après giclée son jus âpre qui je savoure avec délectation. Pour le remercier de cette offrande, je nettoie toute trace de foutre avec ma langue. J’adore pointer ma langue à la source, juste sur son méat, et sentir son jus épais et âcre.
    
    Depuis ma première expérience, j’ai adoré le sperme, son odeur, son goût. Et au fil des ans, mon appétit n’a jamais cessé de croître.
    
    Comme dit la chanson, il venait d’avoir dix-huit ans. Je venais de fêter en avril avec mes potes ma majorité et je me sentais libre dans mon corps et dans ma tête. C’était en ...
    ... camp d’ados où nous prenions les douches en commun. J’aimais à observer discrètement les plus hardis ; les sexes tendus s’exhibaient devant les plus pudiques qui, terrorisés par leur nudité, tenaient leur sexe caché derrière leurs mains. J’aimais regarder ces queues, et bien que timide moi aussi, je ne cachais rien de mon trouble : bien au contraire, j’aimais exhiber mon sexe déjà de bonne taille et bien tendu. Ma queue aux yeux de tous devait aimer leurs regards, car dès qu’un endroit prêtait à la nudité, elle se dressait impudique, et donc les douches étaient pour moi un haut lieu d’exhibition.
    
    Une matinée, alors que nous prenions notre douche quotidienne, notre mono – José – qui devait aimer nous mater n’avait rien raté de mon manège, ma queue bien raide trahissait mes penchants pour le même sexe, mais je ne considérais pas cela comme une trahison mais plutôt comme un message personnel aux autres mâles. José le comprit vite en fixant ma bite, et nos regards se croisèrent. Je ne sais pourquoi – je tournais le dos au groupe et lui faisais face – je pris mon sexe en main en mimant une branlette, ce qui m’excita encore plus. C’est ainsi que l’après-midi même j’avais trouvé comme prétexte un mal au ventre pour ne pas faire la sortie rafting qui était programmée. José se porta volontaire pour rester à mes côtés. Après le repas, les groupes prirent le chemin de la forêt, et à 14 heures le camp était pour ainsi dire désert.
    
    José me fit monter dans le dortoir et m’invita à ...
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