1. Ma filleule (1)


    Datte: 09/03/2018, Catégories: Erotique, Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    ... prête. C’est le geste qu’elle a fait qui m’a donné la réponse... elle a placé ses mains sur mes reins et m’a guidé vers la fourche de ses jambes... Quand elle senti mon sexe en face du sien, elle a soulevé son bassin en me disant !
    
    —Viens... Je suis à toi !
    
    Et avec toutes les précautions possible je suis entré dans son vagin jusqu’au moment où ma filleule a eu un nouveau mouvement de recul... Mon gland butait contre son hymen...
    
    Mais cette coquine n’avait pas ôté ses mains de mes reins... C’est elle qui m’a enfoncé au plus profond de sa chatte en me pressant contre elle.
    
    Quand j’ai pu me relever un peu, j’ai vu dans ses yeux quelques larmes... de douleur ai-je pensé en premier mais quand elle m’a dit qu’elle était HEUREUSE, j’ai compris que c’étaient des larmes de JOIE.
    
    —AIME-MOI !
    
    Ces deux mots prononcés à mi voix m’ont procuré un immense plaisir et j’ai commencé à faire l’amour à ma filleule... J’allais et venais dans son sexe, certainement encore douloureux de la défloration, et Rébecca avait ramené ses cheveux sur les haut de son visage... comme pour masquer la montée de son plaisir. Si je sentais le mien monter dans mes reins, les réactions de ma partenaire montraient désormais clairement qu’elle aussi avait du plaisir... Quand j’arrivais eu fond de son vagin, elle poussait de petits cris mais aussitôt elle m’encourageait...
    
    Mais bientôt (et malgré ma volonté) la jouissance m’a submergé et je me suis épanché dans ce sexe chaud qui accueillait un ...
    ... homme pour la première fois.
    
    Peu de temps après ma filleule jouissait à son tour en disant et répétant ! MERCI... Merci... Merci...
    
    Nous sommes restés longtemps enlacés, mon sexe au fond du sien, noyé dans mon sperme et sa cyprine... Nous étions bien mais je ne voulais pas peser sur Rébecca : un adule normalement constitué dans la force de l’âge sur une jeune fille qui devait peser au moins 30 kilos de moins... Nous avons basculé sur le côté mais malheureusement nos sexes se sont désunis... mais je suis resté entre la fourche de ses cuisses.
    
    C’était une histoire sans paroles... Nous n’avions pas besoin de parler... J’ignore ce qui pouvait passer par la tête de ma filleule mais moi, je mesurais à sa juste valeur le cadeau qu’elle venait de me faire : SA VIRGINITE !
    
    Quelque temps plus tard, Rebecca voulut prendre une douche... Elle voulait se débarrasser des traces de sang qui maculaient l’entrée de son vagin (et mes draps...). Je lui donnai ce dont elle avait besoin, mais je n’avais rien de féminin à lui offrir. Je voulais la laisser seule pour prendre sa douche mais :
    
    —Reste... Qu’est-ce que ça change ? Tu me vois nue depuis deux heures... Prenons la douche à deux !
    
    Je ne me suis pas fait prier pour l’accompagner dans la cabine de douche et c’est moi qui ai lavé Rébecca... La mousse onctueuse nappait son jeune corps et je caressais sa jolie poitrine aux tétons saillants... Mettant ma main en conque, je l’ai plaquée sur l’entrée de son sexe que j’ai massée avec ...
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